L’oreille tendue de… Andrée A. Michaud

Andrée A. Michaud, Bondrée, 2014, couverture

«Il suffisait de tendre l’oreille pour entendre les gens chuchoter que c’était la folie qui avait agi ainsi, la folie engendrée par la guerre, et la haine après elle, la haine et la colère, l’orgueil, une insondable vanité.»

Andrée A. Michaud, Bondrée. Roman, Montréal, Québec Amérique, 2014, 296 p. Format numérique.

 

[Complément du 27 octobre 2023]

Plus fort encore : «L’enquête se corsait et on avait tendu nos quatre oreilles en direction des fenêtres ouvertes des McBain, où se tenait une réunion à laquelle participait le père d’Emma.»

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