Paradoxe scolaire québécois…
Dans certaines écoles, le vouvoiement des enseignants redeviendrait la norme, après plusieurs années de tutoiement généralisé. À la maternelle, le fils cadet de l’Oreille tendue doit vouvoyer sa maîtresse. (Excellente chose.)
Quand il sort de classe pour aller au service de garde, les éducateurs s’adressent collectivement à son groupe à la deuxième personne du singulier : Là, le groupe, tu prends ton cerceau.
On pourrait être troublé à moins.
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Donc, si je comprend bien, il faut éduquer les éducateurs.
Il faut bien commencer quelque part…
C’est le « tu » collectif, faut croire.