«J’ai reçu un appel téléphonique de Jérôme Lindon. J’ai reçu une gifle de mon grand-père parce que je me penchais sur une vipère pourtant coupée en deux par sa pelle» (p. 81).
«J’accablai de ma mauvaise ironie son petit personnel, ces prêtres accoutrés comme pour enterrer leur vie de célibataire qui raflaient à la fin des offices les maigres économies des veuves, qui taquinaient si brutalement la muse dans leurs homélies et l’enfant de chœur dans la sacristie» (p. 94).
Éric Chevillard, le Désordre azerty, Paris, Éditions de Minuit, 2014, 201 p.
P.-S.—L’Oreille tendue a présenté ce texte le 28 mars 2015.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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