Les zeugmes du dimanche matin et de Patrick Senécal

Patrick Senécal, Malphas, couvertures des quatre tomes

«Seule la Black à la queue de cheval inscrit les titres des livres avec un large sourire et un stylo» (2011, p. 39).

«Je ne sais pas si [Valaire] est rentrée tard, mais elle a le même air que la veille : en forme et en criss» (2011, p. 90).

«Haletante, Paméla revint à la cuisine et décrocha le téléphone. Au même moment, la porte s’ouvrit et un bel homme d’une quarantaine d’années, vêtu d’un manteau de qualité et d’un chapeau sombre, fit son entrée avec calme, en exhibant un sourire et la clé qui lui avait permis de déjouer la serrure» (2013, p. 2).

«Recevoir un coup de téléphone, de la visite et de la marde» (2013, p. 55).

«Je retourne à la cuisine et à mes moutons […]» (2013, p. 65).

«Prendre un joint, son pied et quatre verres» (2013, p. 129).

«Il doit le canaliser [ce «hurlement intérieur»], le transformer en autre chose, et il sait comment : aussitôt chez lui, il se masturbera sur les photos de Rachel, et il laissera jaillir autant son foutre que son cri, un long cri de jouissance qui camouflera le désespoir qu’il contient…» (2014, p. 300-301).

 

Références

Senécal, Patrick, Malphas 1. Le cas des casiers carnassiers, Québec, Alire, coll. «GF», 16, 2011, 337 p.

Senécal, Patrick, Malphas 3. Ce qui se passe dans la cave reste dans la cave, Québec, Alire, coll. «GF», 24, 2013, 562 p.

Senécal, Patrick, Malphas 4. Grande liquidation, Québec, Alire, coll. «GF», 31, 2014, 587 p.

 

(Une définition du zeugme ? Par .)

CC BY-NC 4.0 Cette œuvre est sous Licence Creative Commons Internationale Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale 4.0.

Laissez un commentaire svp