Les cinq livres québécois de 2017…

…que ne lira pas l’Oreille tendue.

Le livre de cuisine (et les autres œuvres) de Kim Thúy (Ru, c’est bien assez.)

Le roman de David Goudreault qui a suivi la Bête à sa mère (et l’autre après) (Le premier volume de la trilogie, c’est assez.)

Le Poids de la neige de Christian Guay-Poliquin (À cause de / grâce à Luc Jodoin)

Le Nouveau Régime. Essais sur les enjeux démocratiques actuels de Mathieu Bock-Côté (L’Oreille essaie d’éviter, dans la mesure du possible, l’excès de vitamines.)

Et — cela va sans dire — En as-tu vraiment besoin ? de Pierre-Yves McSween.

Source de l’illustration : Twitter

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3 réponses sur “Les cinq livres québécois de 2017…”

  1. Beau cadeau que vous me faites en ce dernier jour de l’année : une économie d’une vingtaine de dollars. Je regarderai par la fenêtre le poids de la neige sur les toits de mon voisinage mais je n’achèterai pas le roman. J’étais tentée, l’attrait des récompenses littéraires me turlupinent toujours un peu. Mais des exemples patents de métaphores lourdes me replacent la jarnigoine.
    J’ai pourtant lu tout ce qui s’est écrit par Kim Thùy, malgré la redondance. La sobriété de son écriture me rejoint.
    Je me suis lassé de « La bête à sa mère » au tome 3 seulement. Et encore.
    Présentement, je lis « La bête creuse » de Christophe Bernard « Le Quartanier ». Pas facile, je crois que Luc Jodoin irait à la pêche à cause du »trop, c’est comme pas assez ».

    Bonnes lectures en 2018. Lisez bien, vivez bien !

  2. Ah, je pensais être la seule à ne pas apprécier Kim Thùy, à ne pas comprendre pourquoi elle est si populaire – mais elle a le génie du marketing.
    Il faut lire The Sympathizer, de Viet Thanh Nguyen (2015). Le roman a été traduit en français : le Sympathisant. C’est l’histoire d’un espion communiste qui quitte Saïgon pour Los Angeles avec la dernière vague de réfugiés qu’il est chargé de surveiller. Bien observé, drôle, imagé.

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