L’oreille tendue de… Olga Tokarczuk

Olga Tokarczuk, Sur les ossements des morts, 2012, couverture

«Aujourd’hui, je devais attendre qu’elle ferme son temple, puis l’emmener avec Dyzio en Tchéquie, visiter une librairie qui vendait des œuvres de Blake. Bonne Nouvelle était en train de ranger des foulards. Elle parlait peu et quand elle prenait la parole, c’était avec une toute petite voix, de sorte qu’il fallait tendre l’oreille pour l’entendre.»

Olga Tokarczuk, Sur les ossements des morts, Paris, Éditions Noir sur blanc, 2012. Traduction de Margot Carlier. Édition numérique.

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