Steven Guilbault «s’est empressé d’avouer avoir goûté à la “désobéissance civile” dans son jeune temps, sans jamais avoir pour autant sombré dans la violence — il s’est bien gardé de préciser qu’il a depuis détruit son cœur d’enfant, ses rêves de jeunesse et la possibilité d’un monde meilleur».
Samuel Mercier, Les mauvais jours finiront. Hommage aux indésirables, Montréal, Lux, coll. «Lettres libres», 2025, 197 p., p. 82.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
Cette œuvre est sous Licence Creative Commons Internationale Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale 4.0.
