«Louis s’écroula sur son lit à deux heures trente du matin, saturé, et décida qu’il ne se lèverait pas demain.
D’ailleurs, c’était dimanche.
Il ouvrit les yeux à midi moins dix, mieux disposé à l’égard de la vie. Il étendit son bras droit, alluma la radio pour entendre les nouvelles du monde et se mit pesamment debout.
C’est depuis sa douche qu’il entendit un mot qui l’alerta. Il ferma le robinet, et, dégouttant d’eau, tendit l’oreille.»
Fred Vargas, Sans feu ni lieu, Paris, J’ai lu, 2001, 282 p., p. 155. Édition originale : 1997.
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