Le niveau baisse ! (1969)

«La lente mais réelle désagrégation de la langue française au Québec, résultat de la situation politico-sociale globale, a favorisé l’épanouissement d’un cinéma qui ne fait pas confiance, dans la plupart des cas, aux entremises des structures linguistiques tel le scénario.»

Source : André Belleau, «Le cinéma québécois», Europe, 478-479, février-mars 1969, p. 246-251, p. 249-250.

Pour en savoir plus sur cette question :

Melançon, Benoît, Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), Montréal, Del Busso éditeur, 2015, 118 p. Ill.

Benoît Melançon, Le niveau baisse !, 2015, couverture

Le niveau baisse ! (2013)

«Ainsi, au Québec, l’objectif ministériel au chapitre de la connaissance de la langue française veut qu’à l’examen terminal de niveau collégial, l’élève produise un texte en 800 mots comportant moins de 30 fautes, un critère qui aurait naguère mis en échec un élève en première secondaire.»

Source : Normand Thériault, le Devoir, 9 mars 2013

Pour en savoir plus sur cette question :

Melançon, Benoît, Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), Montréal, Del Busso éditeur, 2015, 118 p. Ill.

Benoît Melançon, Le niveau baisse !, 2015, couverture

Le niveau baisse ! (2016)

«C’est un sujet tabou dans le métier et on n’en discute presque jamais, de peur sans doute de heurter des collègues. Ce tabou, c’est la détérioration de la qualité de la voix et de la langue parlée des journalistes à la radio et à la télévision au Québec. Un déclin marqué depuis plusieurs années.»

Source : Louis Fournier, «Sujet tabou : la langue des journalistes», le Devoir, 12 octobre 2016, p. A8.

Pour en savoir plus sur cette question :

Melançon, Benoît, Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), Montréal, Del Busso éditeur, 2015, 118 p. Ill.

Benoît Melançon, Le niveau baisse !, 2015, couverture