De l’article Autobus
De l’article Bar
De l’article Éducation et roman
De l’article Matricule 728
De l’article MOOC
De l’article Rectificatif
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
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L’Oreille tendue est donc allée voir ailleurs si elle y était. Notes.
L’urbain fait fureur au Québec, mais pas seulement. Paris n’échappe pas à cette plaie.
La mauvaise pub est universelle. L’Oreille a proposé celle-ci à Jean-Philippe Pleau.
C’est pourtant simple. Quand il s’agit du genre autobiographique, le mot Mémoires est masculin et prend la majuscule. Pourtant…
À chacun ses traditions. L’Oreille a les siennes.
Hommage (Paris 15e) à Philippe Didion et à ses Notules.
Dans les appartements de location (barcelonais), on trouve des lectures étonnantes. (Non, personne ne feule dans Otages en Irak [2005].)
Après Wikipédia, Wikimedia Commons, Wikibooks, Wikidata, Wikinews, Wikiquote, Wikisource et Wikivoyage, voici, à Barcelone, Wikinails. Un bar à ongles ?
Il y eut l’extrême, puis l’ultime. Voici l’ultra.
Foi d’Oreille et d’oreille de fils d’Oreille, il y eut du soleil.
Hommage à Nicolas Dickner
La mondialisation est réelle : des Québécois buvant du vin espagnol dans un verre inspiré d’une société finlandaise.
Pourquoi aller si loin quand le dépaysement est au coin de la rue ?
L’Oreille tendue prend congé de clavier. De retour après la pause.
L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) lance aujourd’hui son application mobile consacrée à la littérature québécoise.
Sur la page d’accueil d’Opuscules. Littérature québécoise mobile, on trouve deux rubriques : «Anthologie» donne à lire «des textes inédits d’écrivains québécois lauréats de prix littéraires»; «Agrégateur» rassemble des blogues traitant de littérature québécoise, «sélectionnés en fonction de leur qualité et de leur pertinence».
L’Oreille tendue découvre qu’elle est présente dans cet «Agrégateur». Elle en rougit de tous ses lobes.
Pour télécharger Opuscules, c’est ici. Pour lire le communiqué de l’UNEQ, c’est là.
En français, on parle (rarement) de cours en ligne ouvert et massif (CLOM). L’acronyme anglais est plus fréquent : MOOC (pour Massive Open Online Course).
Mais pourquoi se contenter de ces deux acronymes quand tant d’autres peuvent être créés ?
Les mauvaises langues, qui doutent du succès réel de ce type d’enseignement assisté par ordinateur, gardent MOOC, mais lui donnent un autre sens : Massively Overrated Online Courses (@AcademicsSay).
Le MOOC ne vous paraît pas suffisamment ouvert ? Pratiquez, comme on le fait à Saskatoon, le TOOC, le Truly Open Online Course.
Vous préférez le local au mondial ? Le LOOC (Local Open Online Course) est pour vous, dit-on à Vancouver.
Vous n’aimez ni les grandes structures ni le libre accès ? Optez pour un SPOC (Small Private Online Course). Ça se pratique à Harvard.
Ce n’est pas assez avancé pour vous ? Rassurez-vous : on parle parfois de MOOR (Massive Open Online Research).
On n’arrête pas le progrès.
[Complément du 28 août 2015]
Vous voulez rester en groupe ? L’Université McGill vous propose un GROOC, «a MOOC for groups».
[Complément du 30 novembre 2015]
Variation sur un même thème, chez @AcademicsSay, qui passe de Massively Overrated Online Courses à Massively Overhyped Online Courses.
[Complément du 15 juillet 2016]
Faisons plus simple, moins massif.
I’m ooced already! | RT @wscholger: @dariahTeach coining the term "OOC" – not massive, but still open and online. Love it! 🙂 #DH2016
— Aurélien Berra (@aurelberra) July 15, 2016
Illustration : Elliot Lepers, «MOOC – Massive Open Online Course logo», 2013, logo déposé sur Wikimedia Commons