Quelques questions pour les bénéficiaires habituels de l’Oreille tendue, histoire de tester leurs connaissances.
(Réponses officielles le 4 février. Si vous préférez soumettre les vôtres d’ici là, prière d’utiliser la rubrique «Laissez une réponse» ci-dessous.)
1. On doit à un auteur fétiche de l’Oreille l’incise suivante : «L’aveugle se doit d’être un peu muet, sentencia Russel.» De quel auteur s’agit-il ? (Deux points supplémentaires si vous repérez l’œuvre d’où est tirée cette phrase.)
2. Quelle est la capitale de la Notulie ?
3. Trouvez l’intrus : «une avion», «une escalier roulante», «une autobus», «une ascenseur», «une ambulance».
4. Donnez cinq synonymes du mot rondelle. (Un point pour l’ensemble des cinq réponses.)
5. Comment désigne-t-on un enseignant de sciences dans les écoles montréalaises ?
6. Votre journée de travail est finie. Devriez-vous dire «Je me suis flushé du bureau» ou «J’ai quitté pour la journée» ?
7. La formule «catholique progressiste», lue dans le Devoir des 26-27 janvier 2013, est-elle un pléonasme ou un oxymore ?
8. Dans le Charretier de la «Providence», Georges Simenon écrit la phrase suivante : «on vit le matelot […] faire sauter, du pont et d’un geste précis, les amarres de leurs bittes» (p. 53). À quelle figure de style a-t-il recours ?
9. Dans quelle capitale trouve-t-on Les Capitales ?
10. Quelle ville du Saguenay—Lac-Saint-Jean peut-on confondre avec une expression latine ?
Référence
Simenon, Georges, le Charretier de la «Providence», dans Romans. I, Paris, Gallimard, coll. «Bibliothèque de la Pléiade», 495, 2003, p. 1-103 et 1337-1353. Édition établie par Jacques Dubois, avec Benoît Denis. Édition originale : 1931.