De l’article Austérité
De l’article Bar(s)
De l’article Féminisation
De l’article Lexicographie
De l’article Le numérique et la recherche en vidéo
De l’article Sundae
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
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Il arrive que l’Oreille tendue se définisse comme un service public : n’existe-t-elle pas pour aider ses bénéficiaires ?
C’est dans le cadre de cette mission qu’elle leur propose parfois des générateurs de textes, ces formes de RAO (rédaction assistée par ordinateur). Voir à cet égard la rubrique qui vient d’être créée ici.
Ajouts du jour.
Vous vous sentez la fibre patriotique ? Le Canlit Premise Generator vous attend.
C’est l’économie qui vous intéresse ? Plus besoin de vous casser la tête à inventer de nouvelles mesures d’austérité : allez là.
Créer son emploi, c’est bien. Inventer sa catégorie d’emploi, c’est mieux — surtout dans la Silicon Valley.
Vous êtes journaliste ? On fait (presque) tout le travail pour vous de ce côté.
Les artistes contemporains qui ont besoin d’aide pour leur titre d’exposition sauront où s’adresser.
Yapadkoi.
Afin de favoriser le libre accès au savoir, les professeurs du Département des littératures de langue française (DLLF) de la Faculté des arts et des sciences de l’Université de Montréal ont décidé de créer une collection de leurs textes disponibles gratuitement en ligne.
Hébergée sur la plateforme Papyrus, le dépôt institutionnel de l’Université de Montréal, cette collection se trouve à l’adresse suivante : https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/handle/1866/11371.
Elle compte pour l’instant plus d’une centaine de textes (comptes rendus, articles, chapitres de livres, livres, etc.) signés par des professeurs du DLLF. Tous sont consultables gratuitement. De nouvelles publications y seront périodiquement ajoutées.
Il y a là des publications de l’Oreille tendue.
En 2012, Lise Bissonnette, Yvan Lamonde et Georges Leroux ont invité l’Oreille tendue à présenter une conférence dans le cadre de la série de colloques «Transmettre la culture» organisée par l’Académie des lettres du Québec. Une version du texte qu’elle a prononcée le 26 octobre 2012, «Confessions d’un optimiste (numérique)», est disponible ici.
Sa conclusion ?
Il n’est pas question, à mes yeux, d’opposer une culture à l’autre, la numérique à celle d’avant, comme s’il y en avait une seule. Si l’on veut transmettre la culture aujourd’hui, et y participer, il faut prendre acte de ce qui se passe dans le numérique et en mesurer les effets, notamment sur ce que l’on appelle «la chaîne du livre». Prendre acte et ne pas désespérer : l’optimisme est de rigueur, pas la nostalgie.
Référence
Melançon, Benoît, «Confessions d’un optimiste (numérique)», dans Transmettre la culture. Enjeux et contenus de l’enseignement secondaire au Québec. À la recherche d’un socle. Synthèse et Actes du colloque d’octobre 2012, Montréal, Académie des lettres du Québec, [2014], p. 54-70. Suivi d’une «Discussion de cet exposé», p. 71-80. https://doi.org/1866/13165
L’encyclopédie collaborative Wikipédia célèbre ses 15 ans aujourd’hui.
En 2009, l’Oreille tendue lui consacrait un article :
Melançon, Benoît, «Journal d’un (modeste) Wikipédien», dans Rainier Grutman et Christian Milat (édit.), Lecture, rêve, hypertexte. Liber amicorum Christian Vandendorpe, Ottawa, Éditions David, coll. «Voix savantes», 32, 2009, p. 225-239. https://doi.org/1866/11380