Cela a commencé, anonymement, sur Facebook, en 2013. Puis ce fut Twitter. Dérapages poétiques était né. C’est aujourd’hui un livre, publié par Atelier 10, sous une belle couverture rigide, toujours sans signature.
À la page des «Remerciements», à la dernière ligne du livre, on peut lire ceci : «Nous sommes tous Dérapages poétiques.» C’est d’autant plus vrai pour l’Oreille tendue qu’elle en signe la préface.
Référence
Dérapages poétiques. Volume 1, Montréal, Atelier 10, 2017, 222 p. Préface de Benoît Melançon. https://doi.org/1866/28757