Découverte bien tardive

Claude Steben, dans le rôle du Capitaine Cosmos, les Satellipopettes, 1978-1987

L’Oreille tendue savait déjà que l’expression «Deux morceaux de robot», au Québec, récompensait une bonne réponse.

Exemple :

«— Tu veux dire que le projet de troisième lien destiné aux automobiles à Québec n’a jamais eu de sens ?
— Deux morceaux de robot pour toi !»

L’Oreille ne s’était jamais toutefois demandé d’où venait cette expression.

L’exposition De Pépinot à la Pat’ patrouille. Notre enfance télévisuelle du Musée canadien de l’histoire lui a fourni l’explication.

Dans l’émission pour enfant les Satellipopettes (1978-1987, soit bien après l’enfance de l’Oreille), le Capitaine Cosmos, joué par Claude Steben, «est l’animateur d’un populaire jeu de questions et d’adresse opposant des élèves de deux écoles primaires. / Lorsqu’une équipe gagne, elle remporte un ou des morceaux en vue de construire son robot.»

À votre service.

Autopromotion 545

Benoît Melançon, «Parlons local», la Presse+, 7 janvier 2021, illustration

Récemment, l’Oreille s’est tendue devant des publicités télévisuelles québécoises. Elle n’a pas aimé ce qu’elle a entendu. C’est dans la Presse+ du jour.

P.-S.—Vous trouvez que cela ressemble à une montée de lait ? Vous n’avez pas complètement tort.

 

[Complément du 8 janvier 2021]

On peut entendre l’Oreille discuter de ce texte (et d’autres questions concernant la langue au Québec) à l’émission de radio Que la Mauricie se lève. C’est ici.

 

[Complément du 14 janvier 2021]

Rebelote aujourd’hui, mais à l’émission Plus on est de fous, plus on lit !, de la radio de Radio-Canada. C’est .