Autopromotion 393

En juin dernier, l’Oreille tendue parlait de la fortune canadienne de Voltaire dans une vidéo de la chaîne «L’histoire nous le dira» de Laurent Turcot, sur YouTube.

Rebelote aujourd’hui, sur Maurice Richard — c’est du hockey — et l’émeute du 17 mars 1955. (Merci encore de l’invitation.)

Pour en savoir plus :

Melançon, Benoît, les Yeux de Maurice Richard. Une histoire culturelle, Montréal, Fides, 2006, 279 p. 18 illustrations en couleurs; 24 illustrations en noir et blanc. Nouvelle édition, revue et augmentée : Montréal, Fides, 2008, 312 p. 18 illustrations en couleurs; 24 illustrations en noir et blanc. Préface d’Antoine Del Busso. Traduction : The Rocket. A Cultural History of Maurice Richard, Vancouver, Toronto et Berkeley, Greystone Books, D&M Publishers Inc., 2009, 304 p. 26 illustrations en couleurs; 27 illustrations en noir et blanc. Traduction de Fred A. Reed. Préface de Roy MacGregor. Postface de Jean Béliveau. Édition de poche : Montréal, Fides, coll. «Biblio-Fides», 2012, 312 p. 42 illustrations en noir et blanc. Préface de Guylaine Girard.

Les Yeux de Maurice Richard, édition de 2012, couverture

Autopromotion 383

Collection «Socius», invitation, 26 octobre 2018

Deux livres viennent donc de paraître dans la collection «Socius», que l’Oreille tendue dirige aux Presses de l’Université de Montréal :

Bouliane, Claudia, l’Adolescent dans la foule. Aragon, Nizan, Sartre, Montréal, Presses de l’Université de Montréal, coll. «Socius», 2016, 444 p. ISBN : 2-978-7606-3974-4. Description.

Glinoer, Anthony, la Bohème. Une figure de l’imaginaire social, Montréal, Presses de l’Université de Montréal, coll. «Socius», 2018, 241 p. Ill. ISBN : 2-978-7606-3967-6. Description.

Ils seront lancés le 26 octobre, à la Librairie Olivieri, à 17 h 30. L’invitation est lancée. Au plaisir de vous y voir.

 

[Complément du 8 novembre 2018]

Pour revoir la table ronde, c’est ici.

L’oreille tendue… de Resident Evil 2

Resident Evil 2, jeu vidéo«Comme nous le disions, Resident Evil 2 abandonne le rendu des décors en 2D pré-calculé pour une 3D bien plus immersive. Graphiquement, le titre est très beau, fourmillant de détails et avec une habile gestion de la lumière. On se retrouvera à plusieurs reprises dans le noir, et c’est arme au poing, l’oreille tendue, qu’on avance dans les sinistres couloirs du commissariat» (source).