Autopromotion 765

«Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XXI

La 611e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.

La bibliographie existe depuis le 16 mai 1992. Elle compte 72 056 titres.

À partir de cette page, on peut interroger l’ensemble des livraisons grâce à un rudimentaire moteur de recherche et soumettre soi-même des titres pour qu’ils soient inclus dans la bibliographie.

Illustration : «Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XXI

Autopromotion 764

«Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XX

La 610e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.

La bibliographie existe depuis le 16 mai 1992. Elle compte 71 936 titres.

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Illustration : «Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XX

Autopromotion 762

«Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XIX

La 609e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.

La bibliographie existe depuis le 16 mai 1992. Elle compte 71 816 titres.

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Illustration : «Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XIX

Autopromotion 760

«Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XVIII

La 607e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.

La bibliographie existe depuis le 16 mai 1992. Elle compte 71 579 titres.

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Illustration : «Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XVIII

Le zeugme du dimanche matin et de Louis Sébastien Mercier

Portrait de Louis-Sébastien Mercier

«Ses cheveux proprement tressés formaient un nœud derrière sa tête, et un léger soupçon de poudre leur laissait leur couleur naturelle. Ce simple accommodage ne présentait point une pyramide plâtrée de pommade et d’orgueil, ni ces ailes maussades qui donnent un air effaré, ni ces boucles immobiles qui, loin de retracer une chevelure flottante, n’ont d’autre mérite que celui d’une roideur sans expression, comme sans grâces.»

Louis Sébastien Mercier, l’An deux mille quatre cent quarante. Rêve s’il en fut jamais, édition, introduction et notes par Raymond Trousson, Bordeaux, Ducros, 1971, 426 p., p. 94-95. Édition originale : 1770-1771.

 

P.-S.—Il y a peu, l’Oreille tendue a écrit un texte sur ce roman.

 

(Une définition du zeugme ? Par .)