Autopromotion 762

«Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XIX

La 609e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.

La bibliographie existe depuis le 16 mai 1992. Elle compte 71 816 titres.

À partir de cette page, on peut interroger l’ensemble des livraisons grâce à un rudimentaire moteur de recherche et soumettre soi-même des titres pour qu’ils soient inclus dans la bibliographie.

Illustration : «Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XIX

Autopromotion 760

«Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XVIII

La 607e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.

La bibliographie existe depuis le 16 mai 1992. Elle compte 71 579 titres.

À partir de cette page, on peut interroger l’ensemble des livraisons grâce à un rudimentaire moteur de recherche et soumettre soi-même des titres pour qu’ils soient inclus dans la bibliographie.

Illustration : «Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XVIII

Le zeugme du dimanche matin et de Louis Sébastien Mercier

Portrait de Louis-Sébastien Mercier

«Ses cheveux proprement tressés formaient un nœud derrière sa tête, et un léger soupçon de poudre leur laissait leur couleur naturelle. Ce simple accommodage ne présentait point une pyramide plâtrée de pommade et d’orgueil, ni ces ailes maussades qui donnent un air effaré, ni ces boucles immobiles qui, loin de retracer une chevelure flottante, n’ont d’autre mérite que celui d’une roideur sans expression, comme sans grâces.»

Louis Sébastien Mercier, l’An deux mille quatre cent quarante. Rêve s’il en fut jamais, Bordeaux, Ducros, 1971, 426 p., p. 94-95. Édition, introduction et notes par Raymond Trousson. Édition originale : 1770-1771.

 

P.-S.—Il y a peu, l’Oreille tendue a écrit un texte sur ce roman.

 

(Une définition du zeugme ? Par .)

Autopromotion 756

Portrait de Louis-Sébastien Mercier

Le quotidien le Devoir publie aujourd’hui un texte de l’Oreille tendue, «La bibliothèque mutilée». Le point de départ en est le roman l’An deux mille quatre cent quarante. Rêve s’il en fut jamais, de Louis Sébastien Mercier. Ça se lit ici.

Merci à Louise-Maude Rioux Soucy pour son accueil.

 

Compléments bibliographiques

Jacquot, Olivier, «La Bibliothèque du roi visitée en 1698 : An Englishman in Paris», entrée de blogue, Carnet de la recherche à la Bibliothèque nationale de France, 21 novembre 2022. https://bnf.hypotheses.org/18767

Leduc, Diane, «De quelques livres brûlés. La représentation d’autodafés de livres au Siècle des Lumières», Montréal, Université de Montréal, mémoire de maîtrise, août 2011, xi/136 p. Dir. : Benoît Melançon. https://doi.org/1866/6303

Mercier, Louis Sébastien, l’An deux mille quatre cent quarante. Rêve s’il en fut jamais, Bordeaux, Ducros, 1971, 426 p. Édition, introduction et notes par Raymond Trousson. Édition originale : 1770-1771.

Ovenden, Richard, Burning the Books. A History of the Deliberate Destruction of Knowledge, Cambridge, Harvard University Press, 2020, 320 p. Ill.

Polastron, Lucien H., Livres en feu. Histoire de la destruction sans fin des bibliothèques, Paris, Denoël, 2004, 430 p.

Autopromotion 755

«Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XV

La 604e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.

La bibliographie existe depuis le 16 mai 1992. Elle compte 71 248 titres.

À partir de cette page, on peut interroger l’ensemble des livraisons grâce à un rudimentaire moteur de recherche et soumettre soi-même des titres pour qu’ils soient inclus dans la bibliographie.

Illustration : «Anatomie», deuxième volume des planches de l’Encyclopédie, Paris, 1762, planche XV