« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
«Bon, dit Émile, très bien, j’y vais, et il part seul un vendredi, en tenue militaire et en train, direction Berlin avec changement à Dresde.»
Jean Echenoz, Courir. Roman, Paris, Éditions de Minuit, 2008, 141 p., p. 38.
Merci à @ljodoin.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
«Comme je n’avais ni frère ni sœur à qui me confier, je me tournai vers Mathieu Vezeau, aussi fils unique, avec qui je partageais un banc d’école et une même passion pour le hockey.»
Claude Dionne, Sainte Flanelle, gagnez pour nous ! Roman, Montréal, VLB éditeur, 2012, 271 p., p. 19.
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«Le concierge n’en croyait pas ses oreilles, et encore moins son client» (p. 135).
«Alexandre a reçu la consigne et, sans discuter, il a fermé sa bouche, puis la porte derrière laquelle il a disparu» (p. 224).
Pierre Szalowski, Mais qu’est-ce que tu fais là, tout seul ?, Montréal, Hurtubise, 2012, 360 p.
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«On voyait partout un tas de voitures stationnées de travers, coincées à mort entre de monstrueux bancs de neige que les citoyens foraient frénétiquement à coups de pelles et de crises cardiaques.»
Martin Gagnon, les Effets pervers. Roman, Montréal, Le Quartanier, «série QR», 68, 2013, 147 p., p. 69.
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«Au lieu d’en faire un fromage, une chronique et une crise de nerfs, vous n’aviez qu’à retourner la boîte, monsieur le chroniqueur…» (Pierre Foglia, «C’est pas pour me vanter», la Presse, 23 mai 2013, p. A5).
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