La 320e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.
Illustration : vue de l’intérieur de la nouvelle bibliothèque publique de Leiden, gravure anonyme, 1712, Rijksmuseum, Amsterdam
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
La 320e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.
Illustration : vue de l’intérieur de la nouvelle bibliothèque publique de Leiden, gravure anonyme, 1712, Rijksmuseum, Amsterdam
Marronnier : «FIG. (arg. de la presse, des médias) Sujet rebattu qui reparaît régulièrement (comme la floraison des marronniers d’Inde, au printemps)» (le Petit Robert, édition numérique de 2014). Parmi les marronniers, il y a les textes journalistiques annuels sur les nouveaux mots qui entrent au dictionnaire.
Dans le Devoir du jour (p. B3), Stéphane Baillargeon présente la cuvée 2017. Il en a notamment discuté avec l’Oreille tendue. Il a donc été question de gougoune. Ça se lit ici.
Éditrice à ses heures, l’Oreille tendue a publié deux livres d’Alex Gagnon au cours des derniers mois, la Communauté du dehors. Imaginaire social et crimes célèbres au Québec (XIXe-XXe siècle), aux Presses de l’Université de Montréal, et Nouvelles obscurités. Lectures du contemporain, chez Del Busso éditeur.
Le premier de ces ouvrages a été plusieurs fois honoré au cours des derniers jours. Il a reçu :
le prix Gabrielle-Roy de l’Association des littératures canadiennes et québécoises;
le prix l’Association canadienne des études francophones du XIXe siècle;
L’Oreille est heureuse.
Un segment de l’émission Plus on est de fous, plus on lit !, qu’anime Marie-Louise Arsenault à la radio de Radio-Canada, est consacré à la définition de mots beaucoup présents dans l’espace public.
L’Oreille tendue a déjà eu l’occasion d’y réfléchir à débat, à expert et à authenticité.
Cet après-midi, entre 14 h et 15 h, elle abordera le mot porte-parole.
[Complément du jour]
On peut (ré)entendre l’entretien ici.
[Complément du 4 juin 2017]
Au cours de l’émission, l’Oreille tendue a abordé le cas de Sean Spicer, le porte-parole («spokesman») du 45e président des États-Unis. Depuis, elle est tombée sur l’illustration suivante, qui la trouble un brin. Spicer serait-il un porte-sans-parole ?
Après 42 ans d’enseignement, l’ami Patrick Coleman prend sa retraite du Department of French and Francophone Studies de la University of California, Los Angeles. Pour souligner l’événement, une journée d’étude s’y tient aujourd’hui : «From Author to Audience : Reflections on Editing, Translating, and Publishing Literature Today.»
L’Oreille tendue se réjouit fort d’en être. Le titre de son intervention ? «Scholarly Publishing Today : Notes From the Field.»