L’oreille tendue de… François Hébert

«La question demeure : y a-t-il un lieu commun, un moyen de communication, un lien possible entre nous et les dieux (évidemment entendus au sens où ils existent), et qui ne se réduise pas soit à l’altérité radicale, soit à une familiarité poisseuse ? C’est assurément mettre bien haut la barre pour un modeste travail de critique …

L’oreille tendue de… François Hébert

«Je tends l’oreille, comme un élastique. Au bout, des paysages m’apparaissent. Chaque matin, je débarque sur la lune.» François Hébert, Pour orienter les flèches. Notes sur la guerre, la langue et la forêt, Montréal, Trait d’union, coll. «Échappées», 2002, 221 p., p. 72.

Le zeugme du dimanche matin et de François Hébert

«On rapporta ses propos, ainsi que ses bras et ses jambes au roi. On enterra l’Ouaaa, son tronc dans un cercueil ordinaire, ses membres dans quatre petits coffres faits sur mesure et disposés de part et d’autre du plus grand.» François Hébert, Histoire de l’impossible pays. Nommé Kzergptatl, de son roi Kztatzk premier et dernier …