« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
«La fête bat son plein, le nectar pétille dans les coupes De plastique et dans les yeux.» François Hébert, Homo plasticus, Québec, Éditions du Beffroi, 1987, 130 p., p. 121. (Une définition du zeugme ? Par là.)
«Avouez qu’il n’est pas facile pour un homme respectable qui se souvient d’avoir été un curé respectable d’avouer en public, un public il est vrai restreint à quatre personnes, mais tout de même : Qa pianote des doigts sur le comptoir, Aq tend une oreille distraite aux propos de Couillard, Luc Larivière se cache derrière les …
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«Écrivain, conclut le roi, que diras-tu jamais que je ne sache ? Va au chant. Tu tendras l’oreille et tu entendras les mésanges de Kzergptatl.» François Hébert, Histoire de l’impossible pays. Nommé Kzergptatl, de son roi Kztatzk premier et dernier et de l’ennemi de celui-ci le sinistre Hiccope 13 empereur du Hiccopiland. Roman, Montréal, Primeur, coll. …
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«l’orage ne perturba guère les travaux ni le feu sacré de l’étudiant sinon nous n’aurions pas été là à l’écouter encore» François Hébert, Si affinités. Poèmes, Montréal, L’Hexagone, 2023, 104 p., p. 40. Postface de Nathalie Watteyne. (Une définition du zeugme ? Par là.)
«Sur les entrefaites, comme on lit dans l’histoire de Cervantès, Sam quitte sa tablette et tend l’oreille, les naufrages le captivent.» François Hébert, Frank va parler. Roman, Montréal, Leméac, 2023, 203 p., p. 80. P.-S.—En le lisant, l’Oreille tendue pensait que c’était le plus récent livre de François Hébert. Ce sera plutôt son dernier.