L’oreille tendue de… François Hébert
«le poème tend l’oreille à l’aurore suit le sentier du cerf cependant qu’au loin tout dort» François Hébert, «Panique», dans Des conditions s’appliquent. Poèmes, Montréal, L’Hexagone, 2019, 75 p., p. 45.
L’oreille tendue de… François Hébert
«Le drummer et poète Patrice Desbiens a le front plissé et l’œil malicieux de qui a survécu de peine et de misère à l’exploitation des mines de nickel de l’Ontario et aux émanations toxiques de l’anglais, à la tristesse des pauvres à Sudbury et à la mélancolie de la taverne Coulson. Tendons l’oreille.» François Hébert, …
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Le zeugme du dimanche matin et de François Hébert
«il n’a pas peur des cambrioleurs ni des lendemains» François Hébert, «Vie du poète», dans les Pommes les plus hautes, Montréal, l’Hexagone, coll. «Poésie», 1997, 74 p., p. 38. (Une définition du zeugme ? Par là.)
Les zeugmes du dimanche matin et de François Hébert
«Son alter ego fait du stop, prend des bus, des bières et son temps» (p. 64). «Zeus aussi visitait les mortelles et celles-ci en perdaient des plumes, leur réputation et à coup sûr leur virginité» (p. 73). François Hébert, De Mumbai à Madurai. L’énigme de l’arrivée et de l’après-midi. Récit, Montréal, XYZ éditeur, coll. «Romanichels», …
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Le zeugme du dimanche matin et de François Hébert
Les Mohawks «ne connaissent pas le vertige ! Si une trentaine d’entre eux sont tombés dans le fleuve en 1907 lors de la construction du pont de Québec, ce n’est pas pour avoir perdu l’équilibre : c’est toute la structure qui s’est effondrée. Ils reposent en terre et en paix à Kahnawaké, sous des croix faites des …
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