Le zeugme du dimanche matin et de Jacques Attali

«Je n’ai pas l’intention de jouer dans ce quinquennat plus de rôle que celui d’homme libre, qui dit la vérité à ses amis — donc à Emmanuel Macron — et à la cantonade.»

Jacques Attali, cité dans l’Express, 3436, semaine du 10 au 16 mai 2017, p. 62, propos recueillis par Éric Mandonnet.

 

(Une définition du zeugme ? Par .)

Autopromotion 305

«Libérez le Rocket» de Robert Ullman et Jeffrey Brown (2011)

L’émission de radio Aujourd’hui l’histoire (Radio-Canada) consacre sa semaine à des grandes dates de l’histoire montréalaise, 375e anniversaire de naissance oblige. Ce soir : le 17 mars 1955, pour l’émeute Maurice-Richard. L’Oreille tendue raconte.

Elle s’est inspirée de son livre de 2006 et d’une série de billets de ce blogue.

C’est à 20 h, au micro de Jacques Beauchamp.

 

[Complément du jour]

On peut (ré)entendre l’entretien ici.

 

[Complément du 12 décembre 2018]

 

Illustration : Extrait de la bande dessinée «Libérez le Rocket» de Robert Ullman et Jeffrey Brown (2011). Reproduit avec l’autorisation des auteurs.

 

Références

Melançon, Benoît, les Yeux de Maurice Richard. Une histoire culturelle, Montréal, Fides, 2006, 279 p. 18 illustrations en couleurs; 24 illustrations en noir et blanc. Nouvelle édition, revue et augmentée : Montréal, Fides, 2008, 312 p. 18 illustrations en couleurs; 24 illustrations en noir et blanc. Préface d’Antoine Del Busso. Traduction : The Rocket. A Cultural History of Maurice Richard, Vancouver, Toronto et Berkeley, Greystone Books, D&M Publishers Inc., 2009, 304 p. 26 illustrations en couleurs; 27 illustrations en noir et blanc. Traduction de Fred A. Reed. Préface de Roy MacGregor. Postface de Jean Béliveau. Édition de poche : Montréal, Fides, coll. «Biblio-Fides», 2012, 312 p. 42 illustrations en noir et blanc. Préface de Guylaine Girard.

Ullman, Robert et Jeffrey Brown, «Libérez le Rocket», dans Old-Timey Hockey Tales, Volume One, Greenville, Richmond et Minneapolis, Wide Awake Press, 2011, s.p.

Les Yeux de Maurice Richard, édition de 2012, couverture

Ella et Germaine

Jazz magazine, 693, avril 2017, couverture

Ella Fitzgerald est née il y a cent ans. Germaine de Staël est morte il y a deux cents ans. Peut-on réunir le jazz et le Siècle des lumières ? Pascal Anquetil le fait dans la livraison d’avril 2017 de Jazz magazine : «Mais tout succès a ses revers. Il faut souvent en payer le prix. Il peut être lourd. “La gloire, a dit Madame de Staël, est le deuil éclatant du bonheur.” La vie amoureuse d’Ella, qui fut aussi intense que décevante, en est l’implacable démonstration» (p. 15).

Il fallait oser.

 

[Complément du 10 juin 2020]

L’Oreille a repris ce texte, sous le titre «Le jazz et Mme de Staël», dans le livre qu’elle a fait paraître au début de 2020, Nos Lumières.

 

Références

Anquetil, Pascal, «Des fleurs pour Ella», Jazz magazine, 693, avril 2017, p. 11-23.

Melançon, Benoît, Nos Lumières. Les classiques au jour le jour, Montréal, Del Busso éditeur, 2020, 194 p.