Curiosités voltairiennes (et bien pratiques)

Quoi ? Vous n’avez pas encore votre sac Voltaire ? Mais qu’attendez-vous ?

Pour les notaires :

Sac «Si je suis notaire, c’est pas de la faute à Voltaire !», Action contre la faim, 2022

 

Pour les lecteurs et les danseurs (à Paris) :

Sac de Shakespeare and Company

 

Pour les congressistes qui souhaiteraient écraser l’infâme :

Sac distribué au Congrès international des Lumières, Rotterdam, 2015

 

Dans «De la liberté d’imprimer» (Nouveaux mélanges, 1765), Voltaire écrit ceci : «Laissez lire, et laissez danser : ces deux amusements ne feront jamais de mal au monde.»

 

Voltaire est toujours bien vivant.

 

[Complément du 26 août 2025]

N’oublions pas celui-ci, disponible en boutique.

Sac des boutiques Zadig & Voltaire

Le zeugme du dimanche matin et de Simenon

Simenon, le Passager clandestin, éd. de 1947, couverture

«Il jonglait avec les verres, avec la bouteille, avec les rayons du soleil, avec Owen, avec l’admiration des deux femmes et du petit cochon, qu’il s’amusait à repousser du pied pour le faire grogner.»

Georges Simenon, le Passager clandestin, dans Tout Simenon 2, Paris et Montréal, Presses de la Cité et Libre expression, coll. «Omnibus», 1988, p. 123-240, p. 229. Édition originale : 1947.

 

(Une définition du zeugme ? Par .)

L’oreille tendue de… Julie Otsuka

Julie Otsuka, Certaines n’avaient jamais vu la mer, 2022, couverture

«Nous faisions ce que nous avions toujours fait, mais rien n’était plus pareil. “Le moindre bruit m’effraie à présent, disait Onatsu. Lorsqu’on frappe à la porte. Que le téléphone sonne. Qu’un chien aboie. Je tends l’oreille pour écouter les pas des gens.” Et chaque fois qu’une voiture inconnue arrivait dans le voisinage, son cœur battait à tout rompre, car elle était sûre que l’heure avait sonné pour son mari.»

Julie Otsuka, Certaines n’avaient jamais vu la mer, Paris, Gallimard, coll. «Folio», 7120, 2022, 176 p. Traduction de Carine Chichereau. Édition numérique.

Autopromotion 847

Banc public représentant la page frontispice de l’Encyclopédie, Langres

La 668e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.

La bibliographie existe depuis le 16 mai 1992. Elle compte 77 900 titres.

À partir de cette page, on peut interroger l’ensemble des livraisons grâce à un rudimentaire moteur de recherche et soumettre soi-même des titres pour qu’ils soient inclus dans la bibliographie.

Illustration : banc public représentant la page frontispice de l’Encyclopédie, Langres (source)