La 333e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.
Illustration : Une homme dans son étude, 1750, Rijksmuseum, Amsterdam
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
La 333e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.
Illustration : Une homme dans son étude, 1750, Rijksmuseum, Amsterdam
Fin septembre, le magazine québécois l’Inconvénient publiait un dossier sous le titre «Faudra-t-il toujours lutter pour le français ?» (numéro 70, automne 2017; table des matières ici) L’Oreille tendue y signe un texte.
Ce texte est repris, pour l’essentiel, dans la rubrique «Des idées en revues», du quotidien le Devoir du jour. Cela aurait dû s’intituler «Les langues de mes fils» et ça se lit de ce côté.
P.-S.—C’est la deuxième fois que l’Oreille a cet honneur; la première, c’était en septembre 2014. Espérons que ce ne soit pas la seconde.
La 332e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.
Illustration : La bibliothèque de l’Université de Göttingen, 1740, Bibliothèque nationale de France, Gallica
Un segment de l’émission Plus on est de fous, plus on lit !, qu’anime Marie-Louise Arsenault à la radio de Radio-Canada, est consacré à la définition de mots beaucoup présents dans l’espace public.
L’Oreille tendue a déjà eu l’occasion d’y réfléchir à débat, à expert, à authenticité, à porte-parole et à transparence.
Cet après-midi, entre 14 h et 15 h, elle abordera le mot mononcle.
Elle se servira notamment de quelques textes publiés ici, le 15 mai 2011, le 6 octobre 2015 et le 20 octobre 2017.
[Complément du jour]
On peut (ré)entendre l’entretien ici.
Ce soir, vers 17 h 40, au micro d’Annie Desrochers, à l’émission le 15-18 de la radio de Radio-Canada à Montréal, l’Oreille tendue ira causer de l’ouvrage Dérapages poétiques. Volume 1, dont elle signe la préface.
Sur le projet Dérapages poétiques, on peut lire le Devoir ou Métro.
La réception de l’ouvrage ? Voyez ici ou là. Elle est bonne.
[Complément du jour]
On peut (ré)entendre l’entretien ici.
L’ouvrage vient d’être recommandé par Émilie Perreault.
Référence
Dérapages poétiques. Volume 1, Montréal, Atelier 10, 2017, 222 p. Préface de Benoît Melançon. https://doi.org/1866/28757