«Combien de fois un homme doit-il tendre l’oreille», se demande-t-on sur YouTube.
P.-S.—Oui, ça marche toujours avec les glandes lacrymales de l’Oreille tendue.
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
«Combien de fois un homme doit-il tendre l’oreille», se demande-t-on sur YouTube.
P.-S.—Oui, ça marche toujours avec les glandes lacrymales de l’Oreille tendue.
L’ami Laurent Turcot a sa chaîne sur YouTube, L’histoire nous le dira.
En 2018, l’Oreille tendue y a causé de Voltaire et du Canada, puis de Maurice Richard — c’est du hockey. En 2019, il y a été question du Siècle des lumières, en l’occurrence de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert, de son livre Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), de Jackie Robinson et d’Ella Fitzgerald.
Avant-hier, c’était Marivaux.
Aujourd’hui, c’est un célèbre tableau d’Anicet Charles Gabriel Lemonnier.
P.-S.—L’Oreille a aussi sa chaîne vidéo. Elle est bien plus modeste.
[Complément du 23 novembre 2025]
L’«Article labellisé du jour» sur Wikipédia porte sur ce tableau. C’est ici.
Référence
Melançon, Benoît, Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), Montréal, Del Busso éditeur, 2015, 118 p. Ill.
«Thank God and Greyhound you’re gone.»
Titre et vers d’une chanson de Larry Kingston et John Edward Nix enregistrée par Roy Clark en 1970.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
L’ami Laurent Turcot a sa chaîne sur YouTube, L’histoire nous le dira.
En 2018, l’Oreille tendue y a causé de Voltaire et du Canada, puis de Maurice Richard — c’est du hockey. En 2019, il y a été question du Siècle des lumières, en l’occurrence de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert, de son livre Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), de Jackie Robinson et d’Ella Fitzgerald.
Aujourd’hui : Marivaux.
P.-S.—L’Oreille a aussi sa chaîne vidéo. Elle est bien plus modeste.
Référence
Melançon, Benoît, Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), Montréal, Del Busso éditeur, 2015, 118 p. Ill.
En 2017, sur Twitter, @rafov74 et @JulienLefortF s’inquiétaient.

Être sur son x ? L’expression existe depuis quelques années et elle est appréciée des chroniqueurs culturels et autres omnicommentateurs aussi bien que des gestionnaires et des artistes.
Son sens ? «Être exactement à l’endroit où l’on veut être dans sa vie, autant personnellement que professionnellement, c’est ça, être sur son X» (les Inspirés, 5 octobre 2015).
Un synonyme (surtout sportif) ? Être dans la bonne chaise.
Un danger ? Perdre son x. Heureusement, le chanteur Louis-Jean Cormier vient de retrouver le sien.
[Complément du 27 mars 2021]
Le x, pour certains, est une destination : «C’est un cliché, certes, mais Solange Drouin décide de l’assumer : en se joignant à l’ADISQ, en 1992, elle est arrivée sur son X» (la Presse+, 27 mars 2021).
[Complément du 17 août 2025]
Un antonyme ? Être hors de son X. Exemple : «Latifah Abdu et Tanya Boychuk ont semblé particulièrement hors de leur X, samedi» (la Presse+, 17 août 2025).