Il y a «la fille de l’agence […] avec sa tête de musaraigne, et sa dégaine de plante verte, belle comme un caoutchouc de sous-préfecture».
Laurent Mauvignier, Ceux d’à côté. Roman, Paris, Éditions de Minuit, 2002, 156 p., p. 137-138.
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
Il y a «la fille de l’agence […] avec sa tête de musaraigne, et sa dégaine de plante verte, belle comme un caoutchouc de sous-préfecture».
Laurent Mauvignier, Ceux d’à côté. Roman, Paris, Éditions de Minuit, 2002, 156 p., p. 137-138.