«Il cavalcade, le monstre à six têtes, entre en tornade, une harde sauvage, un fil à pattes les liant : la p’tite papoose à cru sur le mongol, le ti-cul derrière se bêchant, les grands sautant l’obstacle, virant le coin sec. Foin dans les cheveux, ronces aux mollets, grafignes et rose aux joues, crottés rare, ils sèment samares, cocottes, limaces et désordre sur leur passage» (p. 51).
«Grand-maman l’attend, et le malheur aussi» (p. 79).
Catherine Lalonde, la Dévoration des fées, Montréal, Le Quartanier, «série QR», 112, 2017, 136 p.
P.-S.—En savoir plus sur ce livre ? Cliquez ici.
(Une définition du zeugme ? Par là.)