Sur Twitter, @revi_redac, lisant David Desjardins dans le Devoir du 22 novembre, a ce commentaire : «Codinde : J’ai toujours trouvé ce mot très drôle ! Merci à @DesjardinsDavid de faire ressurgir ce grand oublié.»
Elle reproduit l’image suivante, qui donne la définition du mot.
Codinde : J’ai toujours trouvé ce mot très drôle! Merci à @DesjardinsDavid de faire ressurgir ce grand oublié. pic.twitter.com/OgiRw9qo8i
— révision + rédaction (@revi_redac) November 22, 2014
Dans son Dictionnaire de la langue québécoise (1980), Léandre Bergeron reprend la même étymologie, la même définition et la même prononciation (p. 147-148).
L’Oreille tendue, elle, a le clair souvenir d’avoir entendu la prononciation codingue. De stupide à dingue, la langue n’a qu’un pas à franchir.
[Complément du jour]
Sur codingue, voir le blogue de Jacques Lanciault.
[Complément du 19 mai 2018]
Fusionnant deux animaux, Michel Tremblay, dans La grosse femme d’à côté est enceinte (1978), écrit «coq-dinde» (p. 260).
Références
Bergeron, Léandre, Dictionnaire de la langue québécoise, Montréal, VLB éditeur, 1980, 574 p.
Tremblay, Michel, La grosse femme d’à côté est enceinte, Montréal, Leméac, 1978, 329 p.
