La 321e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.
Illustration : Un savant dans sa bibliothèque, gravure de Jacob Folkema (1702-1767), Rijksmuseum, Amsterdam
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
La 321e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.
Illustration : Un savant dans sa bibliothèque, gravure de Jacob Folkema (1702-1767), Rijksmuseum, Amsterdam
La 320e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.
Illustration : vue de l’intérieur de la nouvelle bibliothèque publique de Leiden, gravure anonyme, 1712, Rijksmuseum, Amsterdam
De l’article Bar
De l’article Bœuf de l’Ouest
De l’article Ensemble de l’œuvre
De l’article Rousseau à Ermenonville
De l’article Signature
La 319e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.
Illustration : page de titre du Journal litéraire, À La Haye, chez T. Johnson, gravure de Bernard Picart, 1715, Rijksmuseum, Amsterdam
Ella Fitzgerald est née il y a cent ans. Germaine de Staël est morte il y a deux cents ans. Peut-on réunir le jazz et le Siècle des lumières ? Pascal Anquetil le fait dans la livraison d’avril 2017 de Jazz magazine : «Mais tout succès a ses revers. Il faut souvent en payer le prix. Il peut être lourd. “La gloire, a dit Madame de Staël, est le deuil éclatant du bonheur.” La vie amoureuse d’Ella, qui fut aussi intense que décevante, en est l’implacable démonstration» (p. 15).
Il fallait oser.
[Complément du 10 juin 2020]
L’Oreille a repris ce texte, sous le titre «Le jazz et Mme de Staël», dans le livre qu’elle a fait paraître au début de 2020, Nos Lumières.
Références
Anquetil, Pascal, «Des fleurs pour Ella», Jazz magazine, 693, avril 2017, p. 11-23.
Melançon, Benoît, Nos Lumières. Les classiques au jour le jour, Montréal, Del Busso éditeur, 2020, 194 p.