L’Oreille tendue s’éclipse quelques jours. De retour après la pause.
P.-S.—Non, elle n’essaie pas de passer un sapin à ses bénéficiaires.
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
L’Oreille tendue s’éclipse quelques jours. De retour après la pause.
P.-S.—Non, elle n’essaie pas de passer un sapin à ses bénéficiaires.
L’Oreille tendue blogue en ces lieux depuis le 14 juin 2009. Cette enseigne est féminine, mais l’auteur des textes est un homme. Rien de plus facile à découvrir : il suffit de cliquer, en haut à gauche, sur le bouton «À propos». Cela paraît clair. Pourtant…
L’Oreille est citée dans un mémoire de master de 2018 d’une façon qui la trouble dans son genre, pour paraphraser boiteusement Judith Butler.
Dans le texte, il est question d’une «[C]anadienne francophone» qui tiendrait «apparemment» le «blog» que vous êtes en train de lire. En note, cette «[C]anadienne francophone» devient un homme.
L’Oreille ne sait plus où elle en est. Devra-t-elle avoir recours au pronom iel, ainsi que le lui suggère @machinaecrire ? Il y a certain chroniqueur du Devoir que cela pourrait irriter.
L’été dernier, entre deux coups de pinceau, l’Oreille tendue a donné un long entretien à Emmanuelle Lescouët. Ça vient de paraître, sur le Carnet de la Fabrique du numérique, sous le titre «Penser publiquement la recherche». Ça se lit ici.
Il y est question de préhistoire du Web, de WordPress, du blogue, de recherche universitaire, d’enseignement, de vulgarisation, de Wikipédia, de Tumblr, de Twitter, de médias, de Word et même de TikTok — entre autres choses.
Chers bénéficiaires,
L’Oreille tendue doit passer d’un serveur (informatique) à un autre. Cela peut créer quelques turbulences au cours des prochains jours.
Pour quelques semaines, l’Oreille tendue sera ailleurs. Elle reviendra.