L’éditeur Paul Otchakovsky-Laurens (P.O.L) vient de mourir.
Lisons les livres qu’il a publiés, ceux de Jean Rolin, de Catherine Henri, de Marie Darrieussecq, d’Emmanuel Carrère, de Martin Winckler.
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
L’éditeur Paul Otchakovsky-Laurens (P.O.L) vient de mourir.
Lisons les livres qu’il a publiés, ceux de Jean Rolin, de Catherine Henri, de Marie Darrieussecq, d’Emmanuel Carrère, de Martin Winckler.
De l’article Bar
De l’article Érection (matinale)
De l’article Maurice Richard et la circonscription de Crémazie
De l’article Nouvelles maisons d’édition, nouvelles perspectives en littérature québécoise ?
De l’article On exclut la personne qui parle
En juillet dernier paraissait, dans la revue Études françaises (Presses de l’Université de Montréal, vol. 52, no 2, 2016, 189 p., ISSN : 0014-2085, ISBN : 978-2-7606-3692-7), un dossier intitulé «Nouvelles maisons d’édition, nouvelles perspectives en littérature québécoise ?» (table des matières ici)
Pour marquer cette parution, une table ronde est organisée le 16 septembre 2016, à 16 h, à l’Université de Montréal. L’Oreille tendue était du dossier; elle sera de la table ronde.
Discussion animée par Andrée Mercier (Université Laval, Québec) et Élisabeth Nardout-Lafarge (Université de Montréal)
Avec :
Benoît Melançon, professeur (Université de Montréal), critique, essayiste, auteur du blogue l’Oreille tendue
Manon Auger, chercheuse, professionnelle de recherche pour l’équipe «Poétiques et esthétiques du contemporain. Porosité des pratiques narratives contemporaines au Québec» (Université Laval, Québec)
Pierre-Luc Landry, professeur (Collège militaire royal du Canada, Kingston, Ontario), romancier, éditeur (La mèche)
La table ronde se tiendra dans les locaux du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ).
Université de Montréal
Pavillon Lionel-Groulx
3150, Jean-Brillant, Montréal
Salle C-8141
Plan
L’entrée est libre.
[Complément du 21 septembre 2016]
On peut (ré)entendre la table ronde ici.
Le plus récent numéro de la revue Études françaises vient de paraître (Presses de l’Université de Montréal, vol. 52, no 2, 2016, 189 p., ISSN : 0014-2085, ISBN : 978-2-7606-3692-7). Il contient un dossier intitulé «Nouvelles maisons d’édition, nouvelles perspectives en littérature québécoise ?». L’Oreille tendue y a un article sur la langue de quelques romans québécois contemporains. Ses lecteurs ne devraient pas être dépaysés.
Table des matières
Dossier «Nouvelles maisons d’édition, nouvelles perspectives en littérature québécoise ?»
Mercier, Andrée et Élisabeth Nardout-Lafarge, «Présentation. Les lieux du changement ?», p. 5-14. https://doi.org/10.7202/1036921ar
Lapointe, Martine-Emmanuelle, «Portrait d’une maison d’édition naissante. La cas de La mèche», p. 15-28. https://doi.org/10.7202/1036922ar
Côté-Fournier, Laurence, «Les Éditions Rodrigol : un formalisme du commun», p. 29-46. https://doi.org/10.7202/1036923ar
Landry, Pierre-Luc et Marie-Hélène Voyer, «Paratexte et mentions éditoriales : brouillages et hapax au cœur de la “Renaissance québécoise”», p. 47-63. https://doi.org/10.7202/1036924ar
Audet, René, «Des sous-produits éditoriaux au secours de la littérature. Stratégies de construction d’image chez les éditeurs québécois contemporains», p. 65-86. https://doi.org/10.7202/1036925ar
Mercier, Andrée, «Avatars parodiques de la quête identitaire dans le roman québécois contemporain», p. 87-103. https://doi.org/10.7202/1036926ar
Melançon, Benoît, «Un roman, ses langues. Prolégomènes», Études françaises, 52, 2, 2016, p. 105-118. https://doi.org/10.7202/1036927ar
Exercices de lecture
Auger, Manon, «Le “contemporain” de la critique : quelques observations à propos d’un récit impossible», p. 121-140. https://doi.org/10.7202/1036928ar
Simard, Mathieu, «“La valse des adieux” de Louis Aragon ou le passé composé de l’avenir», p. 141-159. https://doi.org/10.7202/1036929ar
Simard-Houde, Mélodie, «Les avatars du “Je”. Roman et reportage dans l’entre-deux-guerres», p. 161-180. https://doi.org/10.7202/1036930ar
Dans le cadre de son cinquantième anniversaire, la revue Études françaises publie le troisième numéro de son «Volume jubilaire» (le numéro double 1-2 ayant paru à la fin de l’été).
Sous la direction de Francis Gingras, ce numéro propose six articles :
Francis Gingras
«Cinquante ans d’Études françaises» (p. 5-14)
Martine-Emmanuelle Lapointe
«Faire la littérature. La réception des textes et des auteurs québécois à la revue Études françaises (1965-2014)» (p. 17-36)
Michel Lacroix
«“L’épreuve de la lecture publique” : Études françaises, la disciplinarisation du savoir et l’idéal du critique-écrivain» (p. 39-80)
Marcello Vitali-Rosati
«Les revues littéraires en ligne : entre éditorialisation et réseaux d’intelligences» (p. 83-104)
Benoît Melançon
«Éditer des revues savantes : le point de vue des presses universitaires» (p. 105-111)
Élisabeth Nardout-Lafarge
«Relais» (p. 113-119)
Le texte de l’Oreille tendue est en consultation libre ici.
Les abonnés de la plateforme Érudit peuvent y lire l’ensemble des textes.
La revue est également disponible en kiosque.
«Volume jubilaire», Études françaises, volume 50, numéro 3, 2014, 126 p. ISSN : 0014-2085 (imprimé); 1492-1405 (numérique). ISBN : 978-2-7606-3466-4.
Illustration de la couverture : François Desharnais, «Études françaises», 2014, acrylique, huile et collage sur toiles (101, 6 X 76, 2 cm)