Ne dites pas. Disez

Ceci n’est pas un menu, la Presse+, 25 juin 2016

 

Pour l’Acéricultrice

Un menu ? Non : une proposition (la Presse+, 25 juin 2016).

Une pièce de théâtre ? Non : une proposition (le Devoir, 21-22 mai 2016, p. C7; le Devoir, 28 juillet 2016, p. B7).

Un spectacle de jazz ? Non : une proposition (le Devoir, 2-3 juillet 2016).

Une chorégraphie ? Non : une proposition (la Presse+, 26 juillet 2016).

Un film de fiction ? Non : une proposition (le Devoir, 2 septembre 2015; le Devoir, 23-24 juillet 2016, p. E4).

Un film documentaire ? Non : une proposition (le Devoir, 24 juillet 2016, p. E5).

Une œuvre d’art ? Non : une proposition (@Lesmatinsfcult; le Devoir, 17 juillet 2012).

Un spectacle de musique baroque ? Non : une proposition (le Devoir, 27 juin 2016).

Une entrée de blogue ? Non : une proposition.

Réunion festive soft

Dans un épisode antérieur, le 29 juin 2012, il a été question du verbe chiller et de l’épithète chill.

Il y a quelques jours, l’Oreille tendue a découvert le substantif masculin chilling. Exemple : Je vais à un chilling chez Makayla. Le chilling, selon l’échantillon sondé (n = 1), est une forme de rencontre, de réunion, de rassemblement. Ce n’est pas tout à fait un party.

En revanche, on ne se livrerait pas au chilling, comme on se livre à la danse ou au macramé. Ce n’est pas une pratique. On n’est donc pas un adepte du chilling.

Yapadkoi.