«calvitie. — Toujours précoce,
est causée par des excès de jeunesse
ou la conception de grandes pensées.»
Flaubert, Dictionnaire des idées reçues
Revitaliser la littérature ? «Des contes qui décoiffent» (la Presse, 18 avril 2004, cahier Lectures, p. 8).
Revivifier l’humour ? «Un frisé qui défrise» (la Presse, 6 juillet 2012, cahier Arts, p. 8).
Foi de dégarni, cette obsession du cheveu à traiter a assez duré.
N.B. L’Oreille tendue le sait : la calvitie pourrait être enrayée. Pis ?
Source : Gallica
[Complément du 9 juin 2014]
Certains journalistes sont particulièrement portés sur le décoiffant. C’est le cas de Marie-Claude Lortie à la Presse. (Merci à @machinacrire pour le tuyau.)