C’était le 12 juin 2010. L’Oreille tendue s’inquiétait du fait que l’on puisse acheter des enfants dans une grande chaîne de librairies canadienne.
Une publicité tombée dans sa boîte aux lettres cette semaine ne l’inquiète pas moins.
Que l’on veuille se débarrasser de ses verrues, de ses ongles incarnés, de ses oignons et orteil marteau, de ses cors et callosités, et du champignon des ongles, cela peut se comprendre. Mais soumettre ses enfants au même traitement ? Il y a des gens qui n’ont pas de cœur — et aucun sens de l’énumération.