À notre aimable clientèle

Del Busso éditeur compte publier cet automne une anthologie de textes de l’Oreille tendue.

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Si oui, veuillez les indiquer dans la section des commentaires ci-dessous.

Merci à l’avance.

Signé : L’équipe blogue

 

[Complément du 22 novembre 2021]

Le livre a paru :

Melançon, Benoît, l’Oreille tendue, Montréal, Del Busso éditeur, 2016, 411 p.

Benoît Melançon, l’Oreille tendue, 2016, couverture

Le niveau baisse ! (1892)

«Mais comme on est toujours mécontent de l’époque où l’on vit, comme on lui trouve tous les défauts et les vices, qui, évidemment, ne pouvaient pas exister avant elle, il est consolant de se retourner en arrière, là où l’on ne regarde plus qu’à travers ce prisme trompeur qui s’appelle l’histoire.»

Source : Arthur Buies, Réminiscences, Québec, Imprimerie de l’Électeur, 1892, cité dans Laurent Mailhot, Anthologie d’Arthur Buies, Montréal, Hurtubise HMH, coll. «Cahiers du Québec. Textes et documents littéraires», 37, 1978, 250 p., p. 81.

P.-S. — L’Oreille tendue avoue, de nouveau, avoir un faible pour Arthur Buies.

Pour en savoir plus sur cette question :

Melançon, Benoît, Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), Montréal, Del Busso éditeur, 2015, 118 p. Ill.

Benoît Melançon, Le niveau baisse !, 2015, couverture

Le niveau baisse ! (1873)

Le Canada est un «pays où disparaît de jour en jour la langue de la France».

Source : Arthur Buies, Chroniques canadiennes, humeurs et caprices, Montréal, Eusèbe Sénécal & Fils, 1884, réédition augmentée de Chroniques, humeurs et caprices, Québec, Typographie de C. Darveau, 1873, cité dans Laurent Mailhot, Anthologie d’Arthur Buies, Montréal, Hurtubise HMH, coll. «Cahiers du Québec. Textes et documents littéraires», 37, 1978, 250 p., p. 55.

P.-S. — L’Oreille tendue avoue avoir un faible pour Arthur Buies.

Pour en savoir plus sur cette question :

Melançon, Benoît, Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), Montréal, Del Busso éditeur, 2015, 118 p. Ill.

Benoît Melançon, Le niveau baisse !, 2015, couverture

Le niveau baisse ! (1946)

«En des âges plus calmes, [Étienne Parent] eût été un excellent écrivain académique au surplus : par malheur, la langue du temps [XIXe siècle], je veux dire la langue du Canada français, faute de contact intime avec les véritables écrivains contemporains, s’appauvrissait de plus en plus […].»

Source : Berthelot Brunet, Histoire de la littérature canadienne-française, Montréal, L’Arbre, 1946, 186 p., p. 22.

Pour en savoir plus sur cette question :

Melançon, Benoît, Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), Montréal, Del Busso éditeur, 2015, 118 p. Ill.

Benoît Melançon, Le niveau baisse !, 2015, couverture