De l’article Astheure
De l’article Ayoye
De l’article Bar
De l’article Liaison(s) dangereuse(s)
De l’article Poignée dans le dos
De l’article Zigonner
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
De l’article Astheure
De l’article Ayoye
De l’article Bar
De l’article Liaison(s) dangereuse(s)
De l’article Poignée dans le dos
De l’article Zigonner
La 323e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.
Illustration : «La beauté à la recherche du savoir», gravure de John Raphael Smith, Londres, 1782, Rijksmuseum, Amsterdam
À compter de septembre, l’Oreille tendue donnera un cours sur le théâtre français du XVIIIe siècle. Elle est donc à (re)lire nombre de textes de et sur le théâtre des Lumières. Par la force de choses, elle tombe souvent, dans les comédies, sur le mot barbon : «Homme d’âge plus que mûr», explique le Petit Robert (édition numérique de 2014).
Quand elle était jeune, au Québec, on aurait parlé de croulant.
Ces deux mots, plus guère d’actualité, s’appliquent désormais à elle.
De l’article Agace(-pissette)
De l’article Anneau de Gygès
De l’article Flambeau
De l’article Mettre / Foutre au chemin
De l’article Soupe aux pois

Il est diverses façons de laisser quelqu’un à destination. On peut déposer cette personne. En registre plus familier, l’Oreille tendue connaît domper (to dump, en anglais). Le marquis de Caraccioli, dans le Livre à la mode, en 1759, a un verbe qui étonne, italique à l’appui : «Madame, voulez-vous, sans façon, accepter une place dans mon vis-à-vis, je vous vomirai là où bon vous semblera […]» (éd. de 2005, p. 70).
P.-S.—En effet, il a déjà été question de vomir ici.
Référence
Caraccioli, Louis-Antoine, marquis de, le Livre à la mode suivi du Livre des quatre couleurs, Saint-Étienne, Publications de l’Université de Saint-Étienne—Jean Monnet, coll. «Lire le dix-huitième siècle», 2005, 105 p. Textes présentés et annotés par Anne Richardot.