(Accouplements : une rubrique où l’Oreille tendue s’amuse à mettre en vis-à-vis deux œuvres, ou plus, d’horizons éloignés.)
Dans le roman les Déliaisons, de Martin Robitaille (Montréal, Québec Amérique, coll. «Littérature d’Amérique», 2008, 240 p.), le narrateur travaille brièvement à la revue Parallaxe.
Dans le Roman d’Isoline, de David Turgeon (Montréal, Le Quartanier, «série QR», 186, 2024, 196 p.), la narratrice travaille brièvement à la revue Paradoxe.
À quand un roman avec des titres de revues comme Parataxe, Parallèle ou Parachute ?