Autopromotion 507

L’ami Laurent Turcot a sa chaîne sur YouTube, L’histoire nous le dira.

En 2018, l’Oreille tendue y a causé de Voltaire et du Canada, puis de Maurice Richard — c’est du hockey. En 2019, il y a été question du Siècle des lumières, en l’occurrence de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert, de son livre Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), de Jackie Robinson et d’Ella Fitzgerald. Cette année, il y a eu Marivaux, puis un célèbre tableau d’Anicet Charles Gabriel Lemonnier.

Aujourd’hui, l’Oreille fait l’article pour son plus récent livre, Nos Lumières (2020) :

 

P.-S.—L’Oreille a aussi sa chaîne vidéo. Elle est bien plus modeste.

 

Références

Melançon, Benoît, Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), Montréal, Del Busso éditeur, 2015, 118 p. Ill.

Melançon, Benoît, Nos Lumières. Les classiques au jour le jour, Montréal, Del Busso éditeur, 2020, 194 p.

Autopromotion 499

L’ami Laurent Turcot a sa chaîne sur YouTube, L’histoire nous le dira.

En 2018, l’Oreille tendue y a causé de Voltaire et du Canada, puis de Maurice Richard — c’est du hockey. En 2019, il y a été question du Siècle des lumières, en l’occurrence de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert, de son livre Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), de Jackie Robinson et d’Ella Fitzgerald.

Avant-hier, c’était Marivaux.

Aujourd’hui, c’est un célèbre tableau d’Anicet Charles Gabriel Lemonnier.

P.-S.—L’Oreille a aussi sa chaîne vidéo. Elle est bien plus modeste.

 

Référence

Melançon, Benoît, Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), Montréal, Del Busso éditeur, 2015, 118 p. Ill.

Autopromotion 498

L’ami Laurent Turcot a sa chaîne sur YouTube, L’histoire nous le dira.

En 2018, l’Oreille tendue y a causé de Voltaire et du Canada, puis de Maurice Richard — c’est du hockey. En 2019, il y a été question du Siècle des lumières, en l’occurrence de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert, de son livre Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), de Jackie Robinson et d’Ella Fitzgerald.

Aujourd’hui : Marivaux.

 

P.-S.—L’Oreille a aussi sa chaîne vidéo. Elle est bien plus modeste.

 

Référence

Melançon, Benoît, Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), Montréal, Del Busso éditeur, 2015, 118 p. Ill.

Vidéo du jour

Conférence «Qui fait changer la langue française ?», page d'accueil

Sous le titre «Qui fait changer la langue française ?», France Culture vient de mettre en ligne la vidéo de deux conférences présentées en septembre 2019 dans la série «Les conférences à la Cité des sciences et de l’industrie» (Universcience), cycle «Est-ce ainsi que les langues vivent ?»

Dans la première partie, la plus brève, Pierrette Crouzet-Daurat décrit le circuit de la néologie officielle en France.

Dans la seconde, Maria Candea essaie de répondre à la question «Qui fait changer la langue française ?»

En définissant des concepts  : langue, dialecte, évolution, variants / invariants, insécurité linguistique.

En s’attachant à plusieurs objets : graphie, prononciation, accord, orthographe, néologie, accord (de proximité) — et, donc, dictionnaire.

En s’appuyant sur un large corpus : les Serments de Strasbourg, Chrétien de Troyes, Molière, Boileau, Fréhel et Trenet, Chirac et Macron.

En offrant des masses d’exemples : monnoie, dompter, boloss / bolos, serpillière, pharmacienne.

En utilisant des ressources diverses : la bibliothèque numérique Gallica, des dictionnaires (le Petit Larousse, le Petit Robert, le Multi), des travaux scientifiques (dont les cartes de Mathieu Avanzi), l’ouvrage Sidonie ou le français sans peine de Salomon Reinach (1913) et même Le niveau baisse !

En disant du mal de l’Académie française, comme ici.

À voir.

Tetris romanesque

Tetris

Soit deux citations tirées d’un excellent roman québécois qui vient de paraître, les Manifestations, de Patrick Nicol (2019).

«Paul fixe le vide et dans le vide voit des formes. La fenêtre est un carré, la rangée de chaises est un losange. Paul imagine qu’un autre losange, qui descendrait du plafond, pourrait se glisser, à la verticale, dans l’espace entre les chaises et la fenêtre. Paul joue au Tetris avec le mobilier de l’hôpital» (p. 233).

«—Je trace mentalement les contours des objets, des personnes, des meubles… Puis j’imagine que des formes descendent du plafond. Des cubes, des rectangles que je dois faire glisser ou pivoter pour qu’ils s’emboîtent parfaitement dans l’espace entre les silhouettes des deux personnes devant moi, ou entre la table à café et le divan.
— Vous jouez au Tetris.
— Oui» (p. 304).

Où le roman et le jeu se rejoignent.

 

Illustration : jeu de Tetris, image déposée sur Wikimedia Commons

 

Référence

Nicol, Patrick, les Manifestations. Roman, Montréal, Le Quartanier, «série QR», 135, 2019, 442 p.