Le quotidien le Devoir publie aujourd’hui un texte de l’Oreille tendue, «La bibliothèque mutilée». Le point de départ en est le roman l’An deux mille quatre cent quarante. Rêve s’il en fut jamais, de Louis Sébastien Mercier. Ça se lit ici.
Merci à Louise-Maude Rioux Soucy pour son accueil.
Compléments bibliographiques
Jacquot, Olivier, «La Bibliothèque du roi visitée en 1698 : An Englishman in Paris», entrée de blogue, Carnet de la recherche à la Bibliothèque nationale de France, 21 novembre 2022. https://bnf.hypotheses.org/18767
Leduc, Diane, «De quelques livres brûlés. La représentation d’autodafés de livres au Siècle des Lumières», Montréal, Université de Montréal, mémoire de maîtrise, août 2011, xi/136 p. Dir. : Benoît Melançon. https://doi.org/1866/6303
Mercier, Louis Sébastien, l’An deux mille quatre cent quarante. Rêve s’il en fut jamais, Bordeaux, Ducros, 1971, 426 p. Édition originale : 1770-1771. Édition, introduction et notes par Raymond Trousson.
Ovenden, Richard, Burning the Books. A History of the Deliberate Destruction of Knowledge, Cambridge, Harvard University Press, 2020, 320 p. Ill.
Polastron, Lucien H., Livres en feu. Histoire de la destruction sans fin des bibliothèques, Paris, Denoël, 2004, 430 p.