Bref hommage à Mordecai Richler

Couverture de Home Sweet Home. My Canadian Album (1984)

Le maire de Montréal, Denis Coderre, devrait rendre hommage à l’écrivain anglo-montréalais Mordecai Richler aujourd’hui. (Il était temps que Montréal le fasse correctement.)

L’Oreille tendue est une fan de Richler.

Dans les Cahiers Voltaire (numéro 6, 2007, p. 243-244), elle a consacré un court texte à son roman Barney’s Version et aux Lumières. On peut le lire, en pdf, .

Ici même, elle a parlé de l’écrivain en quelques occasions, à propos de sa passion pour le hockey, car il a écrit, notamment, sur Maurice Richard, Gordie Howe, Jean Béliveau, Gump Worsley et Guy Lafleur.

Par où commencer la lecture de Richler ? L’Oreille confesse un faible pour Barney’s Version (1997), Solomon Gursky Was Here (1989) et Joshua Then and Now (1980).

Autopromotion 168

11 brefs essais contre l’austérité, 2015, couverture

Il y a quelques semaines, l’Oreille tendue parlait, à la radio de Radio-Canada, de la langue de l’austérité au Québec (on peut (ré)entendre l’entretien ici). Grâce à Ianik Marcil, qui scènait en studio, ses propos sont devenus un texte, publié dans un ouvrage collectif, 11 brefs essais contre l’austérité. Pour stopper le saccage planifié de l’État (Montréal, Somme toute, 2015, 202 p., 978-2-924283-86-8). L’ouvrage sera en librairie le 31 mars.

Table des matières

La privatisation tranquille
Ianik Marcil

Dire, ou pas, l’austérité
Benoît Melançon

Pour en finir avec la dette publique
Eve-Lyne Couturier

L’éducation, ce malentendu
Joëlle Tremblay

Tuer le désir de beauté
Ianik Marcil

Mortelle austérité
Alain Vadeboncœur

77 500 ans d’austérité
Widia Larivière et Melissa Mollen Dupuis

Une fragilisation des écosystèmes, des liens sociaux et de la solidarité régionale
Laure Waridel

Le sexisme latent de l’austérité
Alexa Conradi

Des mères nécessiteuses aux garderies commerciales : requiem d’un modèle progressiste
Annie Desrochers

Paroles, paroles…
Hans Marotte

À quoi mal l’austérité ?
Christian Nadeau

Biographies

 

[Complément du 22 avril 2015]

Sur le blogue Littéraires après tout, Alex Gagnon, sous le titre «Perlocutions politiques. La politique comme acte de langage», reprend et prolonge le texte de l’Oreille.

 

[Complément du 8 mars 2016]

Le texte de l’Oreille tendue est désormais disponible ici. Merci à Ianik Marcil d’avoir autorisé cette mise en ligne.

Autopromotion 167

Demain soir, le 11 mars, à 19 h 30, l’Oreille tendue présentera une conférence intitulée «Quelques idées reçues sur la langue (au Québec)» à la bibliothèque d’Ahuntsic. Renseignements ici.