L’Oreille tendue a plusieurs sites. Comme elle s’y perd parfois elle-même, elle se dit qu’il vaudrait mieux tout regrouper au même endroit. Elle n’y est pas encore, mais elle vient d’ajouter, en haut, sur la gauche, une rubrique «En numérique», où l’on peut trouver ses textes disponibles numériquement. C’est toujours ça de pris (se dit-elle).
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La 257e livraison de la bibliographie du XVIIIe siècle tenue par l’Oreille tendue ? Avec plaisir.
Autopromotion 139
Par les temps qui courent, l’Oreille tendue passe beaucoup de temps sur la plateforme de diffusion numérique erudit.org, histoire de compléter sa bibliographie de / sur André Belleau.
Accessoirement, elle y découvre des textes d’elle dorénavant en libre accès. C’est le cas de celui-ci :
Melançon, Benoît, «Épistol@rités, d’aujourd’hui à hier», Lumen. Travaux choisis de la Société canadienne d’étude du dix-huitième siècle. Selected Proceedings from the Canadian Society for Eighteenth-Century Studies, vol. XXIX, 2010 [2011], p. 1-19. https://doi.org/10.7202/1012023ar
Des nouvelles de l’École de la tchén’ssâ
.@ArvidaMan & @WilliamSMessier vont pt-être se battre. 16h dans la cour de l'École de la tchén'ssâ devant le rack à bécike @benoitmelancon
— Mathieu A. (@Doctorakgo) September 11, 2014
À la Librairie Olivieri, hier soir, le magazine culturel Spirale lançait son 250e numéro (automne 2014). On y trouve un dossier intitulé «Territoires imaginaires», conçu par Martine-Emmanuelle Lapointe et Samuel Mercier-Tremblay.
L’Oreille tendue y publie un texte, «J’ai créé un monstre» (p. 33-34), où elle revient sur la «création» de l’École de la tchén’ssâ et sur sa fortune (voir ici, là et là encore).
Au lancement, Martine-Emmanuelle Lapointe et Samuel Mercier-Tremblay ont interrogé Samuel Archibald sur son œuvre. Il a été question de l’École de la tchén’ssâ, mais pas seulement : on a aussi causé de «gothique boréal». L’Oreille a apprécié — la discussion et l’étiquette.
Autopromotion 138
Allez hop ! Une nouvelle bibliographie du XVIIIe siècle, la 256e.