De l’article Carré rouge
De l’article Enwouèye
De l’article Fantômes du Forum
De l’article Genre
De l’article Matricule 728
De l’article Outdooring
De l’article Puck
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
De l’article Carré rouge
De l’article Enwouèye
De l’article Fantômes du Forum
De l’article Genre
De l’article Matricule 728
De l’article Outdooring
De l’article Puck
…que mon grand-père disait slices pour sandwichs. (Et pourtant je parle encore français.)
…que la fille d’une de mes amies parisiennes a maîtrisé le subjonctif avant d’être propre. (Et cette amie racontait cela non sans fierté.)
…que mon professeur de latin, au secondaire, nous a plusieurs fois expliqué le cas de bedon (comme dans oubedon : ou bien).
…qu’une jeune Française déplorait devant moi la faiblesse du français québécois, dans une phrase où elle utilisait lequel que.
…qu’un Américain, débarqué en France pour y parfaire son français, est entré dans un restaurant, qu’il a demandé du bacon en prononçant le mot à la française (bakon et pas békeune) et qu’on a ri de lui. (Et il n’a pas mangé pendant deux jours.)
…que j’ai longtemps prononcé Salaberry à l’anglaise. (Et qu’un de mes potes parlait des Éditions Albinne Mitchel.)
…qu’à Bangkok j’ai découvert ce qu’était véritablement le dépaysement linguistique. (Je ne comprenais rien du tout.)
…qu’il m’est déjà arrivé d’utiliser, en exposé universitaire, ça l’a. (Je n’ai plus recommencé.)
L’Oreille tendue s’intéresse depuis plusieurs années aux relations de la culture et du sport (surtout du hockey).
Cela a donné un ouvrage collectif, un livre sur Maurice Richard, un livre sur la langue de puck et des articles divers (on en trouvera quelques-uns là, en format numérique). Cela a aussi donné des entrées ici même.
Maurice Richard étant né un 4 août, voici quelques textes du blogue qui portent (en partie) sur lui.
Sur hockey et chanson, ici et là
Sur Hitler
Sur les «fantômes du Forum»
Sur le flambeau des Canadiens de Montréal
Sur tabarnac/k
Sur le mazout
Sur le pont Champlain (L’Oreille semble avoir oublié son premier texte quand elle a écrit le second.)
Sur la langue du hockey (dans la série «Dictionnaire des séries»)
Sur Jean Béliveau
Sur Guy Lafleur
Sur Roch Carrier
Sur le mythe, en poésie, au cinéma et dans la presse
Sur le but du 8 avril 1952
Sur celui du 16 avril 1953
Sur William Faulkner
Sur le tir du revers
Sur la mort de Maurice Richard, ici, là et ailleurs
Sur Mordecai Richler
Ça va commencer à bien faire.
[Complément du 26 mai 2020]
Il semble que ce n’était pas tout à faire fini…
Sur Gordie Howe
Sur (encore) le nom d’un pont
Sur Pat Quinn
Sur des bandes dessinées en anglais (ici et là) et en français
Sur l’éducation
Sur l’Émeute (une série de textes)
Sur Jackie Robinson
Sur René Lecavalier
Sur Pierre Bourgault
Sur Gilles Marcotte
Sur un sondage
Sur la poésie richardienne (ici, là, ailleurs)
Sur Gerry McNeil
Sur la circonscription électorale Maurice-Richard
Sur des timbres
Sur des contrats
Sur les «fantômes du Forum» (bis)
Sur le 11 mars 1996
Sur le 23 mars 1944
Sur une exposition
Sur une affiche
Sur Henri Richard
Et ajoutons une vidéo
[Complément du 4 août 2023]
Et encore…
Sur un colloque
Sur un mythe bien de chez nous
Sur le Rocket dans l’espace public
Sur un Maurice Richard pour les enfants
Sur une publicité richardienne
Sur une conférence
Sur la royauté
Sur Roch Carrier
Sur la barbe de Maurice Richard
Sur les yeux de Martin Saint-Louis
Sur l’art perdu de la lettre de rétractation
Sur le maillot des Canadiens de Montréal
«Il passa l’après-midi à lire, adossé à la tête du lit, des pages de la correspondance de Flaubert, malgré l’envie très forte qu’il avait de se rendre chez Huguette pour prendre une bouchée et surtout de ses nouvelles.»
André Major, l’Hiver au cœur, présentation de Jean-François Chassay, Montréal, Bibliothèque québécoise, 1992, 93 p., p. 41. Édition originale : 1987.
Merci à notre fournisseur de zeugmes québecquois.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
«Ses trois filles de 18, 16 et 15 ans, enveloppées d’une pâle beauté mystérieuse, étaient par ailleurs saines et prosaïques comme des betteraves. Son fils de 13 ans, excité comme un pou mais silencieux comme ce n’est pas permis, évoquait davantage à Jean Beaudry l’aspect frustre du navet.»
Jean-François Chassay, les Taches solaires. Roman, Montréal, Boréal, 2006, 366 p., p. 164.