«Thank God and Greyhound you’re gone.»
Titre et vers d’une chanson de Larry Kingston et John Edward Nix enregistrée par Roy Clark en 1970.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
«Thank God and Greyhound you’re gone.»
Titre et vers d’une chanson de Larry Kingston et John Edward Nix enregistrée par Roy Clark en 1970.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
De l’article Aweille
De l’article Ayoye
De l’article Chanter Henri Richard
De l’article Enfants
De l’article Fourrer
«To Buxton Hill Linda brought her exquisite taste and many of the furniture items and artifacts that had been shipped to America from 13 rue Monsieur.»
Charles Schwartz, Cole Porter. A Biography, New York, Da Capo, 1992, xvi/365 p., p. 202. Édition originale : 1979.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
En 2017, sur Twitter, @rafov74 et @JulienLefortF s’inquiétaient.
Être sur son x ? L’expression existe depuis quelques années et elle est appréciée des chroniqueurs culturels et autres omnicommentateurs aussi bien que des gestionnaires et des artistes.
Son sens ? «Être exactement à l’endroit où l’on veut être dans sa vie, autant personnellement que professionnellement, c’est ça, être sur son X» (les Inspirés, 5 octobre 2015).
Un synonyme (surtout sportif) ? Être dans la bonne chaise.
Un danger ? Perdre son x. Heureusement, le chanteur Louis-Jean Cormier vient de retrouver le sien.
[Complément du 27 mars 2021]
Le x, pour certains, est une destination : «C’est un cliché, certes, mais Solange Drouin décide de l’assumer : en se joignant à l’ADISQ, en 1992, elle est arrivée sur son X» (la Presse+, 27 mars 2021).
«Écoutez tous avec élan
Ce que j’vous raconte à l’instant
J’crierai pas fort, j’vas mordre personne
J’essaye quèqu’ chose jus’ pour le fun
J’vous arrach’rai pas les tympas
Tendez vot’ oreille en avant
J’vas dire quèqu’ chose de pas mal laid
Faudrait pas qu’ma mère m’entendrait…»
Plume Latraverse, «Les humains» (1982), dans Tout Plume (…ou presque), Montréal, Typo, 2014, 448 p. Édition numérique.