Le fantôme de Jean Béliveau

Denis Coderre et le fantôme de Jean Béliveau

 

Jean Béliveau vient de mourir à l’âge de 83 ans. L’ancien joueur de centre des Canadiens — c’est du hockey — aurait pourtant été un fantôme depuis plusieurs années. Cela demande explication.

L’Oreille tendue l’a déjà expliqué ici : les fantômes du Forum seraient les esprits des anciens joueurs des Canadiens de Montréal, le Forum étant l’aréna où l’équipe a joué pendant plusieurs décennies. Ils aideraient, dans l’ombre, les joueurs venus après eux. Leur intervention expliquerait certaines victoires tout à fait imprévisibles de l’équipe de Montréal. Jean Béliveau aurait fait partie de ces fantômes du Forum, qui seraient passés en 1996 de cet aréna au Centre Molson, devenu depuis le Centre Bell.

Tous ne s’entendent pas sur l’identité des anciens joueurs réunis sous l’appellation fantômes du Forum. Certains nomment des joueurs morts, d’autres des joueurs morts et des joueurs vivants.

C’est le cas du théologien Olivier Bauer dans son ouvrage Une théologie du Canadien de Montréal (2011) : «Les fantômes du Forum sont les 15 joueurs exceptionnels dont les numéros ont été retirés de l’équipe en signe de reconnaissance» (p. 196 n. 74).

Dans le court métrage d’animation Alex et les fantômes (2009), Éric Warin mêle lui aussi des morts (Howie Morenz, Maurice Richard) et des vivants (Jean Béliveau, Guy Lafleur).

Jean Dion ne disait pas autre chose dans le Devoir d’hier (p. A8) :

Il était aussi l’un des fantômes du Forum, et même fantôme en chef depuis le décès de Maurice Richard [en 2000]. Ces joueurs d’un autre âge qui se chargeaient d’intervenir de manière surnaturelle pour permettre au Canadien de se sauver in extremis avec les honneurs de la Coupe Stanley. Eux savaient comment procéder, à commencer par Béliveau qui possédait une bague pour chaque doigt.

Des fantômes vivants ? L’Oreille ne s’y fait pas.

 

Référence

Bauer, Olivier, Une théologie du Canadien de Montréal, Montréal, Bayard Canada, coll. «Religions et société», 2011, 214 p. Ill.

Quelques mots pour la coupe Vanier

Carabins conte Marauders

«Si l’Italie est une botte, vous verrez que l’île de Montréal ressemble étonnamment à une chaussette. Ou à son contenu, à un pied […]. L’île Jésus épouse l’intérieur du pied comme un ballon de football américain que le pied serait en train de botter vers la baie d’Hudson.»
François Hébert, Montréal

Demain se déroule le championnat canadien de football universitaire, la coupe Vanier (où l’on souhaite bien sûr la victoire des Carabins de l’Université de Montréal). Toujours à l’écoute de ses bénéficiaires, l’Oreille tendue en profite pour proposer quelques mots de la langue du ballon ovale.

Presque chaque séquence de jeu est marquée initialement par le même geste : il faut lever le ballon. C’est à cela que se consacre le joueur de centre, communément appelé, du moins dans les cours d’école, la poule. Il passe le ballon entre ses jambes pour le remettre à son quart-arrière ou à un botteur.

L’équipe qui se défend — la défensive, affectueusement appelée diffensse ou, mieux encore, la (big) di — fonce sur ce quart-arrière, en essayant d’écarter les joueurs adverses sur son passage : cela s’appelle créer de la pénétration. Comment se prémunir contre cette volonté du front défensif ? En scellant le périmètre qui entoure(rait) le quart-arrière. Il faut faire vite : les joueurs de la défensive sont là pour arrêter la progression de ceux de l’autre bord, pour les empêcher de faire avancer le ballon. Au besoin, ils n’hésiteront pas à blitzer (foncer à plusieurs sur le quart).

En revanche, l’équipe qui attaque — l’offensive ou, à l’anglaise, l’offensse — cherche à créer de la séparation : plus ses joueurs seront isolés, mieux ce sera(it). Tout dépend du plan de match qu’elle aura élaboré durant le caucus. Le front offensif est évidemment un rouage capital de ces stratégies.

L’équipe à l’attaque peut gagner du terrain par la voie des airs. Avant de courir avec le ballon, le receveur doit s’assurer de sécuriser sa passe; cela exige de bonnes mains. Tous vous le diront : les meilleurs receveurs sont ceux qui accumulent des verges après l’attrapé. (On notera au passage que les passes longues sont des bombes et que, parmi les courtes, il y des passes voilées. Voilà le jeu aérien.) Une passe à la spirale parfaite est un cigare.

L’offensive peut aussi gagner du terrain au sol. Dans cette phase du jeu, il faut pratiquer des ouvertures pour le porteur de ballon, lui ouvrir des brèches, histoire qu’il s’y engouffre, voire des autoroutes ou des boulevards (le mot est fréquent au soccer, mais rare au football). Sans corridor de course, même les plus belles feintes du monde sont inutiles. Il faut donc gagner la bataille des tranchées.

Quand l’offensive n’a que quelques pouces à gagner — on parle moins volontiers de centimètres —, elle envoie sur le terrain ses plus gros joueurs — elle amène du bœuf de substitution, bref. Ceux-là poussent, histoire que le quart-arrière réussisse sa faufilade et qu’on puisse déplacer les chaîneurs, ceux qui s’assurent que les dix verges nécessaires au premier essai ont bel et bien été parcourues ou franchies.

On ne confondra pas la faufilade avec la dérobade : cette dernière est réservée aux quarts mobiles, ceux qui n’ont pas peur de sortir de leur pochette (protectrice).

Que l’on cueille le ballon ou qu’on le porte, il est de bon ton de tourner le coin (aller droit devant quand on veut nous en empêcher après avoir couru parallèlement à la ligne de mêlée, aller finalement droit devant vers la zone des buts) ou de briser les plaqués (continuer quand on veut nous arrêter). C’est le signe qu’on est le plus fort.

La bataille du positionnement sur le terrain est cruciale au football. Quand une équipe est refoulée dans son territoire, elle a un long terrain à parcourir. Au contraire, plus elle se rapproche de la zone des buts de l’autre équipe, plus le terrain est court. Il n’est jamais aussi court que dans la zone payante, la red zone, entre la ligne de 20 verges et la zone des buts. C’est pourquoi il est inadmissible de ne pas marquer quand on pénètre cette zone. Pas question de laisser des points sur le terrain.

Le temps de possession du ballon est au moins aussi important que le positionnement. Comme l’écrivait Daniel Lemay en 2006, «si les autres n’ont pas l’objet, ils ne peuvent pas compter» (Montréal football, p. 190). Il faut le garder pour soi.

Au hockey, quand un arbitre veut signaler une infraction, il siffle. Au football, il jette son mouchoir sur le terrain. Quand plusieurs arbitres le jettent en même temps, on peut parler de festival du mouchoir.

Il n’est pas sûr que la langue de foot soit aussi riche que la langue de puck. Ce n’est pas une raison pour la négliger.

 

[Complément du 6 février 2016, veille du 50e Super Bowl]

Un joueur qui reçoit un botté (d’envoi, de dégagement) peut essayer de faire un retour (de botté). Il peut aussi considérer que c’est trop dangereux; il demande alors l’immunité.

Qu’arrive-t-il au joueur qui se fait plaquer ? On lui souhaite de briser le plaqué ou de l’absorber et, s’il a le ballon, de ne pas être victime d’un échappé, surtout si celui-ci est recouvré par les adversaires (tout le monde abhorre les revirements).

Votre coéquipier n’est pas à sa place ? C’est une erreur d’assignation.

 

[Complément du 10 septembre 2016]

Le fils cadet de l’Oreille tendue commence sa carrière de footballeur aujourd’hui. Quelques ajouts à ce bref vocabulaire du football sont peut-être utiles.

Fils cadet est secondeur; il joue donc à la défensive. Il doit contrôler la ligne d’engagement quand c’est nécessaire, s’assurer de ses couvertures, surveiller adéquatement l’entrezone, voire, dans le meilleur des mondes possibles, forcer une interception ou un échappé.

Pas question pour lui de permettre un festival offensif. Si l’autre équipe est en situation de court gain, s’il lui faut gagner des poussières, son rôle est de la stopper et de mettre fin à la série offensive.

S’il fait tout cela, la journée sera bonne. Sinon, elle le sera aussi, mais autrement.

 

[Complément du 23 novembre 2019]

Le but du jeu est de gagner. Pour cela, il vaut mieux marquer des touchés (on dit aussi majeurs) que de se contenter de placements. Les premiers, avant d’être convertis, valent six points; les seconds, trois. Quand un botteur s’illustre, les points viennent de son pied. Deux choses sont sûres : il faut toujours concrétiser quand l’occasion se présente et il faut éviter comme la peste les pertes de possession (ce sont des revirements qui peuvent faire mal).

On peut s’inscrire au tableau de loin ou de près; dans ce dernier cas, on se trouve à la porte des buts. Pour y parvenir, on s’appuie sur des concepts de jeu; ce sont eux qui expriment la philosophie d’un entraîneur. Les bonnes équipes savent distribuer le ballon à l’ensemble de leur brigade offensive. Dans tous les cas, une bonne production en premier essai est recommandée; après, il n’en reste que deux. (C’est simple, on a trois essais pour obtenir le premier essai ou premier jeu.)

On l’a vu, pour marquer, on peut s’appuyer sur l’attaque aérienne ou sur l’attaque terrestre. Quand une passe du quart-arrière tombe entre de mauvaises mains, c’est une interception, voire un larcin. Une passe rabattue, c’est pas mal, mais c’est moins bien.

Le jeu de passe suppose la coïncidence de deux doigtés, celui du passeur comme celui du receveur. Celui-ci a intérêt à savoir sauter : les attrapés contestés tournent généralement à l’avantage de celui qui se propulse au plus haut point. Quand le premier receveur est couvert, le quart doit se tourner vers son dépanneur; il ne devait pas être visé, mais il l’est. Un receveur qui entend des pas, qui se met à courir avant d’avoir attrapé le ballon, n’aide pas son équipe.

Une bonne défensive sait maîtriser ses angles de poursuite. Cela peut lui permettre, par exemple, d’accueillir le porteur de ballon dans le champ arrière, avant qu’il ne traverse la ligne de mêlée. Ses joueurs savent synchroniser leur plaqué (pour ne pas passer dans le beurre), exercer de la pression et refermer les ouvertures. Quand un quart n’a aucun receveur ouvert et qu’il n’arrive pas à connecter avec un de ses joueurs, cela s’appelle un sac de couverture; c’est qu’elle est particulièrement étanche.

Le football est un sport dur. Il faut dès lors apprendre à composer avec les blessures.

Cet après-midi, les Carabins de l’Université de Montréal affrontent les Dinos de l’Université de Calgary pour le championnat canadien. Ça ne devrait pas être facile pour eux : il y a pas mal de bœuf de l’Ouest chez leurs adversaires. On leur souhaite néanmoins la victoire.

 

[Complément du 7 février 2021]

C’est jour de Super Bowl. Allons-y de quelques ajouts.

Ni musicale, ni architecturale, ni obstétricale, la portée est le fait de courir avec le ballon. Le porteur qui veut travailler en puissance a avantage à baisser l’épaule; une seule semble d’ailleurs suffire. Il peut courir derrière ses bloqueurs, que ceux-ci décrochent ou pas (de leur position initiale); ça dépend de sa vision du jeu. Une excellente feinte de sa part a pour conséquence que l’adversaire se fait casser les chevilles. Qu’on se rassure : c’est une métaphore. S’il est puissant, il pourra avoir recours à la technique du bras tendu (stiff arm). L’important pour son équipe est d’établir l’attaque au sol.

À ce sujet, d’ailleurs, attention : un quart-arrière mobile peut te faire mal avec ses jambes; soit il sera sorti de sa pochette et il aura couru; soit il aura réussi à étirer le jeugagner du temps). S’il décide de rester dans sa pochette, s’il refuse d’y grimper (de s’avancer), il cherchera d’abord à aller chercher de l’information, histoire de repérer les confrontations avantageuse. Où ira-t-il ? Dans les zones courtes ? Dans les zones intermédiaires ? Dans les zones profondes ? Que visera-t-il quand il lancera le ballon ? L’épaule extérieure; l’intérieure l’exposerait trop à être intercepté. Exigera-t-il un tracé en boucle ? Une chose est sûre : il lui faut gagner une bonne portion / un bon morceau de terrain. Pour cela, il compte sur les passes payantes, qui ne sont pas toujours des touchés. Cela l’oblige à tenir compte du nombre de joueurs qui se tiennent dans la boîte défensive.

Le receveur qui gagne ses batailles le fait parfois en grimpant l’échelle : il saute plus haut que le joueur défensif qui le couvre. Il peut arriver qu’il soit couvert par deux joueurs (couverture double), voire trois (couverture triple).

Les entraîneurs essaient de prévoir leurs actions quelques jeux à l’avance. Quand ils sont trop prévisibles, c’est comme si leurs adversaires leur avaient volé une page de leur livre de jeux. Certains sont passés maîtres dans l’art d’écouler le temps / le cadran. C’est stratégiquement bien vu — et généralement ennuyeux pour les spectateurs, à l’exception des puristes. Qu’on se le dise : il n’est rien de plus long, sportivement parlant, que les deux dernières minutes d’un match de football (sauf peut-être un match de cricket, et encore).

Que font les arbitres ? Ils décernent des pénalités en jetant leur mouchoir. Dans certains cas — comme en latin —, il vaut mieux décliner (les refuser) ces infractions. Dans d’autres, il faut répéter l’essai.

P.-S.—Oui, ce complément, comme ce qui précède, doit beaucoup à Pierre Vercheval, l’analyste du Réseau des sports. Merci à lui.

 

[Complément du 12 février 2023]

Le Super Bowl LVII ? C’est ce soir. Que peut-on ajouter à la liste ci-dessus ? (Le raffut ? C’est déjà ici.)

Des porteurs de ballon et des receveurs, quand on leur confie le ballon, on espère de bonnes récoltes ou des longs jeux, pas qu’ils soient rabattus au sol. Pour tromper l’adversaire, la passe piège est toujours la bienvenue.

On a vu les zones courtes, intermédiaires, profondes, payantes, de même que l’entrezone, là où la couverture est moins étanche, voire carrément inexistante. Un coordonnateur offensif peut aussi essayer d’inonder une zone, histoire de donner du mal à son adversaire, le coordonnateur défensif. La pochette est la zone de protection de l’offensive; il est bon de savoir y manœuvrer.

L’attaque et la défense sont évidemment importantes, mais il faut pas sous-estimer le rôle des unités spéciales (les unités, pour les intimes), particulièrement au moment des bottés (d’envoi — y compris les bottés courts —, de placement, de converti).

La gestion des temps d’arrêt est un art. Pour une équipe qui n’en possède plus, il reste une solution de dernier recours : planter le ballon (to spike the ball). Cela arrête le cadran, mais fait perdre un jeu.

Une équipe qui tire largement de l’arrière et qui se met à marquer des points dans une défaite assurée ne fait qu’engranger des calories vides. Espérons que cela n’arrive pas ce soir.

Quand il reste peu de temps au cadran, l’équipe qui mène et qui a le ballon n’a pas intérêt à tenter des jeux : son quart-arrière peut se contenter de mettre le genou à terre. La génuflexion permet, en effet, de laisser s’écouler les secondes. C’est une façon comme une autre de gérer le cadran ou l’horloge.

 

Références

Hébert, François, Montréal, Seyssel, Champ vallon, coll. «Des villes», 24, 1989, 103 p.

Lemay, Daniel, Montréal football. Un siècle et des poussières…, Montréal, Éditions La Presse, 2006, 240 p. Ill.

Melançon, Benoît, Langue de puck. Abécédaire du hockey, Montréal, Del Busso éditeur, 2014, 128 p. Préface de Jean Dion. Illustrations de Julien Del Busso.

Langue de puck. Abécédaire du hockey (Del Busso éditeur, 2014), couverture

Gilles Tremblay (1938-2014)

Arsène et Girerd, On a volé la coupe Stanley, 1975, p. 39

Gilles Tremblay est mort ce matin. Après avoir été ailier gauche pour les Canadiens de Montréal — c’est du hockey — de 1960 à 1969, il a été commentateur des matchs de l’équipe à la télévision de Radio-Canada de 1971 à 1999. Il a donc été un des premiers joueurnalistes de l’histoire de ce sport.

Contrairement à son coéquipier Jean Béliveau, il n’apparaît que dans peu d’œuvres artistiques. Il fait une courte apparition dans la pièce de théâtre la Coupe Stainless de Jean Barbeau (1974) et dans la bande dessinée d’Arsène et Girerd On a volé la coupe Stanley (1975, p. 39; voir ci-dessus), et son nom est mentionné à plusieurs reprises dans Des histoires d’hiver avec encore plus de rues, d’écoles et de hockey de Marc Robitaille (2013).

À la télévision, il a notamment travaillé avec Richard Garneau et René Lecavalier. Il a manifestement servi de modèle au personnage de Granger dans un roman du premier, Train de nuit pour la gloire ou 45 jours à la conquête de la coupe Stanley (1995). François Hébert l’a uni indissociablement au second, lui qui écoutait «religieusement les commentaires de ces fins exégètes que sont René Lecavalier et Gilles Tremblay, qui me font un peu penser, toutes proportions gardées, à Don Quichotte et Sancho Pança» (1996, p. 212).

Gilles Tremblay a cependant eu droit à sa biographie, signée par Guy Robillard (2008).

P.-S. — On signalera aussi, pour mémoire, les attaques de Michel-Wilbrod Bujold contre les Tremblay — Gilles, Mario, Réjean — à la fin de ses Hockeyeurs assassinés (1997, p. 131-135).

 

[Complément du 30 novembre 2014]

La culture télévisuelle de l’Oreille tendue laisse parfois à désirer. Un lecteur qui en a une meilleure lui fournit l’information suivante :

Le personnage de Gilles Tremblay apparaissait dans les sketchs de Rock et belles oreilles aux côtés de René Lecavalier, joué brillamment par André Ducharme. «Gilles» ne disait jamais un mot… Au début, le «rôle» était tenu par Sylvain Ménard, le directeur technique de RBO; ensuite on l’a remplacé par un mannequin, muet lui aussi.

Merci.

 

[Complément du 10 mai 2018]

Sur son blogue, le Machin à écrire, Nicolas Guay a une très belle série de souvenirs, sous le titre «Passé simple». Voici le 35e texte, «Papa» :

Papa qui porte des favoris. Papa qui me précède dans les pistes de ski de fond du parc des Salines. Papa qui dit : « T’es bin sarfe » pour me taquiner. Papa parti travailler. Papa qui m’envoie en pénitence dans ma chambre. Le son matinal du rasoir électrique de papa alors que je suis encore couché. Papa qui me coupe les cheveux. Papa qui simonize la voiture. Papa qui commente à voix haute les nouvelles à la télé. Papa, ailleurs dans la maison pendant que je fais des dessins dans ma chambre. Papa qui taille les haies avec de grands ciseaux. Papa qui se moque des mimiques et du parler de Gilles Tremblay à la Soirée du hockey.

 

Références

Arsène et Girerd, les Enquêtes de Berri et Demontigny. On a volé la coupe Stanley, Montréal, Éditions Mirabel, 1975, 48 p. Bande dessinée. Premier et unique épisode des «Enquêtes de Berri et Demontigny». Texte : Arsène. Dessin : Girerd.

Barbeau, Jean, la Coupe Stainless, dans la Coupe Stainless. Solange, Montréal, Leméac, coll. «Répertoire québécois», 47-48, 1974, p. 7-89.

Bujold, Michel-Wilbrod, les Hockeyeurs assassinés. Essai sur l’histoire du hockey 1870-2002, Montréal, Guérin, 1997, vi/150 p. Ill.

Garneau, Richard, Train de nuit pour la gloire ou 45 jours à la conquête de la coupe Stanley. Roman, Montréal, Stanké, 1995, 239 p.

Hébert, François, «La Bible de Thurso», Liberté, 152 (26, 2), avril 1984, p. 14-23. Repris dans Jean-Pierre Augustin et Claude Sorbets (édit.), la Culture du sport au Québec, Talence, Éditions de la Maison des sciences de l’homme d’Aquitaine et Centre d’études canadiennes, coll. «Publications de la MSHA», 220, 1996, p. 207-213. https://id.erudit.org/iderudit/30741ac

Robillard, Guy, Gilles Tremblay. 40 ans avec le Canadien, Montréal, Éditions Au carré, 2008, 239 p. Ill. Préfaces de Jean Béliveau et Réjean Tremblay.

Robitaille, Marc, Des histoires d’hiver avec encore plus de rues, d’écoles et de hockey. Roman, Montréal, VLB éditeur, 2013, 180 p. Ill.

André Belleau : bibliographie

Affiche du colloque Belleau de septembre 2015

Les habitués de l’Oreille tendue connaissent son admiration pour André Belleau (1930-1986). La phrase «Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler», entre autres choses, c’est lui.

Les 17-18 septembre 2015, l’Université du Québec à Montréal accueillera le colloque «André Belleau et le multiple» (l’appel à communications est ici).

Le programme est .

[Les enregistrements de toutes les communications sont ici.]

[Le premier volume des Actes a paru; voir de ce côté.]

[Le second volume des Actes a paru; voir de ce côté.]

Préparant sa proposition de communication, l’Oreille s’est souvenue qu’elle avait commencé, il y a jadis naguère, à préparer une bibliographie sur et de André Belleau. La voici. Les propositions d’ajouts / corrections / modifications sont les bienvenues.

 

Version du 10 avril 2025

(Remerciements à Flora Amann, Micheline Cambron, Gérald Cousineau, Chantal Grenier, Michel Lacroix, Karim Larose, William Lipnick, Yolande Martel, Clive Thomson et Stéphanie Wells.)

Textes sur André Belleau

Andrès, Bernard, «Éditorial. Québec-Amérique latine», Voix et images, 34 (12, 1), automne 1986, p. 5-7. https://doi.org/10.7202/200599ar

Angenot, Marc, «L’incarnation des vertus intellectuelles», le Devoir, 20 septembre 1986, p. A8. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2763276?docpos=8

Angenot, Marc, «Note liminaire», dans André Belleau, le Romancier fictif. Essai sur la représentation de l’écrivain dans le roman québécois, Montréal, Presses de l’Université du Québec, coll. «Genres et discours», 1980, p. 9-11.

Angenot, Marc, «“J’aime mieux vivre que me définir”», Liberté, 169 (29, 1), février 1987, p. 46-50. https://id.erudit.org/iderudit/31104ac

Anonyme, «Vient de paraître», le Droit, 14 juillet 1984, p. 20. [Sur Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, 1984] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4467137?docpos=20

Anonyme, «Note de l’éditeur», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016 (1986), p. 7.

Anonyme, «Surprendre les voix», les Libraires, 17, 93, février-mars 2016, p. 66. [Sur Surprendre les voix. Essais, 2016] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2562744?docpos=66&docref=oys8G-_3FKTS8dX-Yus44g

Audet, Noël, «André Belleau. Un regard lucide sur notre roman», le Devoir, 24 janvier 1981, p. 21. [Sur le Romancier fictif, 1980] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2769015?docpos=21

Basile, Jean, «Le Rabelais d’André Belleau», la Presse, 7 avril 1990, p. K4. [Sur Notre Rabelais, 1990] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2168883?docpos=4

Beaudet, André, «Le sentiment de liberté», dans Interventions du parlogue 2, les Herbes rouges, 166-167, 1988, p. 66-70. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3193984?docpos=68

Bélanger, David, Jean-François Chassay et Michel Lacroix, «André Belleau : relire l’essayiste», Voix et images, 124 (42, 1), automne 2016, p. 11-17. https://doi.org/10.7202/1038583ar

Bélanger, David, Jean-François Chassay et Michel Lacroix, «André Belleau : le texte multiple», Voix et images, 125 (42, 2), hiver 2017, p. 7-12. https://doi.org/10.7202/1039911ar

Bélanger, David, «Trois écrivains au café : interactions et socialité en littérature québécoise contemporaine», @nalyses. Revue des littératures franco-canadiennes et québécoise, 12, 3, automne 2017, p. 41-74. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4506558?docpos=42&docref=wLOBZqwqtfdJKlUxjVHlIA

Bélanger, David, «Un conflit quasi anthropologique. Sur une hypothèse d’André Belleau», article électronique, Captures. Figures, théories et pratiques de l’imaginaire, 7, 1, mai 2022. revuecaptures.org/node/5673/

Belleau, Jacques, «Au revoir et à samedi matin…», Liberté, 169 (29, 1), février 1987, p. 58-60. https://id.erudit.org/iderudit/31107ac

Biron, Michel, «Il est permis de rire. Note sur le roman québécois des années 1960», Études françaises, 47, 2, 2011, p. 109-120. https://doi.org/10.7202/1005653ar

Biron, Michel, «“Chez nous, c’est la culture qui est obscène”» , Voix et images, 124 (42, 1), automne 2016, p. 67-75. https://doi.org/10.7202/1038588ar

Boisvert Dufresne, Élise, «La lecture à l’œuvre : conditions et présupposés d’une lecture au service de la littérarité : l’attribution d’un statut littéraire aux textes essayistiques d’André Belleau et de Pierre Foglia», Québec, Université Laval, mémoire de maîtrise, 2012, 149 p. Dir. : Richard Saint-Gelais. http://hdl.handle.net/20.500.11794/24074

Boisvert-Dufresne, Élise, «Qui a peur d’être désuet et quétaine ?», Voix et images, 124 (42, 1), automne 2016, p. 19-29. https://doi.org/10.7202/1038584ar

Bolduc, Solange-Élisabeth, «On dirait Pantagruel !», le Devoir, 26 avril 1985, p. 8. [Sur la réception par Belleau du Prix d’excellence en études canadiennes pour l’enseignement universitaire] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2790579?docpos=8

Bourbonnais, Louise, «Le week-end culturel de Guy Nadon», le Journal de Montréal, 28 février 2016. [Sur Surprendre les voix. Essais, 2016] http://www.journaldemontreal.com/2016/02/24/le-week-end-culturel-de-guy-nadon

Brault, Jacques, «Une conversation dans le noir», Liberté, 169 (29, 1), février 1987, p. 61-62; repris dans la Poussière du chemin. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1989, p. 113-115. https://id.erudit.org/iderudit/31108ac

Brisset, Annie, «Votre leçon d’humanité», Liberté, 170 (29, 2), avril 1987, p. 106-107. https://id.erudit.org/iderudit/60459ac

Cambron, Micheline, «André Belleau à la radio ou la théorie littéraire dialoguée», Voix et images, 125 (42, 2), hiver 2017, p. 59-70. https://doi.org/10.7202/1039916ar

Cantin, Serge, «La fatigue culturelle de Jacques Godbout», Liberté, 206 (35, 2), avril 1993, p. 3-37; repris dans Ce pays comme un enfant. Essais sur le Québec 1988-1996, Montréal, l’Hexagone, coll. «La ligne du risque», 1997, p. 57-92. https://id.erudit.org/iderudit/31489ac

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Textes d’André Belleau

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«Un grand ancêtre ignoré de la poésie moderne : Édouard-Robert Messins (1827-1878)», Fantasia, janvier 1952, p. 13-18. [Sous la signature de Jacques Lorrain] [Nouvelle]

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«Entrevue exclusive avec… Jean-Guy Pilon», le Quartier latin, 15 octobre 1953, p. 4. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4257108?docpos=4

«Kenneth Gilbert, Prix d’Europe 1953 cause avec le “Quartier latin”», le Quartier latin, 22 octobre 1953, p. 4. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4257109?docpos=4

«Récital JMC. Maureen Forrester, contralto», le Quartier latin, 29 octobre 1953, p. 4. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4257110?docpos=5

«En la Saint James United Church… Gaston Arel, organiste, fait des miracles…», le Quartier latin, 26 novembre 1953, p. 5. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4257114?docpos=5

«Récital JMC. Blanche Tarjus ou la technique victorieuse», le Quartier latin, 10 décembre 1953, p. 5. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4257116?docpos=5

«Au Her Majesty’s. Laborieux spectacle de ballet», le Quartier latin, 28 janvier 1954, p. 4. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4257120?docpos=4

Belleau, André, «Récital JMC au Plateau. Le maître Paul Tortelier», le Quartier latin, 25 février 1954, p. 5. [«JMC» désigne les Jeunesses musicales du Canada] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4257124?docpos=5

«Au dernier récital JMC. Karl Engel ou musique versus physique», le Quartier latin, 11 mars 1954, p. 3. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4257126?docpos=3

«Entrevue exclusive avec… Georges Cartier», le Quartier latin, 18 mars 1954, p. 4. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4257127?docpos=4

«L’université et les arts», le Quartier latin, 25 mars 1954, p. 2. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4257129?docpos=2

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«Excellent début de saison», Journal musical canadien, vol. IV, no 2, décembre 1957, p. 7.

«Dylan Thomas», Cahiers radiophoniques. Société Radio-Canada, 1, 1, 1958, p. 59-64. [Texte de la chronique de «Poésie étrangère» diffusée le 14 mai 1957]

«Radio-télévision. Un deuil — De Menotti à Marivaux. Jean Le Moyne parle de Bach», Journal musical canadien, vol. IV, no 3, janvier 1958, p. 3.

«Radio-télévision. Histoire du prolétaire — Questions de langage. Lorsque l’oie se veut rossignol», Journal musical canadien, vol. IV, no 4, février 1958, p. 3.

«Partage d’une inquiétude ou l’épanouissement culturel du Canada français», le Devoir, 28 mars 1958, p. 8. [Texte non signé. La suite, signée, paraît le lendemain. Texte d’une conférence lue le 19 mars 1958 devant l’Association de la jeunesse canadienne-française] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2790918?docpos=8

«Partage d’une inquiétude ou l’épanouissement culturel du Canada français (suite)», le Devoir, 29 mars 1958, p. 12. [La première partie, non signée, a paru la veille. Texte d’une conférence lue le 19 mars 1958 devant l’Association de la jeunesse canadienne-française] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2790926?docpos=12

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«À propos d’une conférence de Jean Le Moyne. Le nœud éclaté», Liberté, 8 (2, 2), mars-avril 1960, p. 74-78. [«Saint-Denys Garneau, témoin de son temps»] https://id.erudit.org/iderudit/59700ac

«1. Les livres», Liberté, 11 (2, 5), septembre-octobre 1960, p. 297-300. [Compte rendu de le Libraire de Gérard Bessette, 1960, et de les Insolences du frère Untel de Jean-Paul Desbiens, 1960] https://id.erudit.org/iderudit/59777ac

«Les livres», Liberté, 12 (2, 6), novembre-décembre 1960, p. 376-379. [Compte rendu de Doux-amer de Claire Martin, 1960, de Et puis tout est silence de Claude Jasmin, 1960, et de Maryse de Dielle Doran, 1960] https://id.erudit.org/iderudit/59796ac

«Le prêtre et les intellectuels au Canada français», dans le Prêtre face au monde du travail, cahier préparé par les séminaristes du Grand séminaire de Montréal à l’occasion du 70e anniversaire de Rerum Novarum, printemps 1961, 5 p.

«2. Roman populaire et statuette romantique», Liberté, 13 (3, 1), janvier-février 1961, p. 452-455. [Compte rendu de la Corde au cou de Claude Jasmin, 1960, et de Tête blanche de Marie-Claire Blais, 1960] https://id.erudit.org/iderudit/59811ac

«II. Épilogue à une querelle», Liberté, 14 (3, 2), mars-avril 1961, p. 478-480. [La querelle opposait Jacques Godbout à Scott Symons dans la Presse en mars 1961 au sujet de Marie-Claire Blais.] https://id.erudit.org/iderudit/59822ac

«Action et enracinement (1)», Liberté, 17 (3, 5), novembre 1961, p. 691-697. https://id.erudit.org/iderudit/30108ac

«Découverte de l’humain», Liberté, 18 (3, 6), décembre 1961, p. 788-791. [Compte rendu de L’argent est odeur de nuit de Jean Filiatrault, 1961, de le Temps des jeux de Diane Giguère, 1961, et de Délivrez-nous du mal de Claude Jasmin, 1961] https://id.erudit.org/iderudit/59869ac

«Les événements littéraires en 1961», Livres et auteurs canadiens 1961, 1962, p. 50-52.

«La littérature», dans le Livre de l’année, Montréal, Grolier, 1962, p. 255-259.

«Si l’essentiel m’était conté…», Liberté, 21 (4), mars 1962, p. 186-189. [Compte rendu de Convergences de Jean Le Moyne, 1961] https://id.erudit.org/iderudit/59890ac

«Le pianiste de Prague», Liberté, 22 (4), avril 1962, p. 218-224. [Nouvelle] https://id.erudit.org/iderudit/30133ac

«Gilles Marcotte ou le poids de la liberté», Liberté, 22 (4), avril 1962, p. 283-285. [Compte rendu de le Poids de Dieu de Gilles Marcotte, 1962] https://id.erudit.org/iderudit/30142ac

«Jacques Godbout ou le libre exercice», Liberté, 24 (4), juin-juillet 1962, p. 474-475. [Compte rendu de l’Aquarium de Jacques Godbout, 1962] https://id.erudit.org/iderudit/30182ac

«Livres. Une critique engagée…», la Presse, supplément 2, 6 octobre 1962, p. 8. [Compte rendu d’Une littérature qui se fait de Gilles Marcotte, 1962] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2757440?docpos=8

«Éphémérides de l’année 1962», Livres et auteurs canadiens 1962, 1963, p. 100-101.

«La littérature», dans le Livre de l’année, Montréal, Grolier, 1962, p. 255-259.

«Trois nouvelles», Écrits du Canada français, 16, 1963, p. 190-217. [«Sous le pont de l’Est» (p. 191-202), «Ce jour-là à Deception Bay» (p. 203-210), «Liguori» (p. 211-217)] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2884019?docpos=195

«Sous le pont de l’Est» reprend des passages de «Suite urbaine» (1959).

«Ce jour-là à Deception Bay» reprend des passages de «Magie noire» (1958).

«La littérature est un combat», Liberté, 26 (5, 2), mars-avril 1963, p. 82. https://id.erudit.org/iderudit/30199ac

«Pour Flora», Liberté, 26 (5, 2), mars-avril 1963, p. 148-150. [Nouvelle] https://id.erudit.org/iderudit/30216ac

«Voix américaines», le Devoir, 6 avril 1963, p. 18. [Sur «la littérature ibéro-américaine actuelle»] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2778798?docpos=18

«Dylan Thomas, dix ans après», la Presse, 11 mai 1963, p. 9. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2757862?docpos=9

«Les pointillés du malheur», Liberté, 27 (5, 3), mai-juin 1963, p. 255-256. [Compte rendu de l’Anthologie d’Albert Laberge de Gérard Bessette, 1963] https://id.erudit.org/iderudit/30234ac

«La littérature en 1963», dans le Livre de l’année, Montréal, Grolier, 1964, p. 248-250.

«Littérature nationale et marché international», le Devoir, 26 octobre 1963, p. 17; repris partiellement dans Québec 64, 1, mai 1964, p. 71-73. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2778972?docpos=17

«Les dieux», Liberté, 29-30 (6, 1), janvier-février 1964, p. 46-48. [Nouvelle] https://id.erudit.org/iderudit/30272ac

«Notre langue comme une blessure», Liberté, 31-32 (6, 2), mars-avril 1964, p. 82-86; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 65-67; repris dans Olivier Kemeid, Pierre Lefebvre et Robert Richard (édit.), Anthologie Liberté. 1959-2009. L’écrivain dans la cité. 50 ans d’essais, Montréal, Le Quartanier, série «QR», 41, 2011, p. 107-112. https://id.erudit.org/iderudit/59901ac

«Le matin des magiciens est ailleurs», la Presse, 2 mai 1964, p. 5. [Compte rendu de le Matin des magiciens de Louis Pauwels et Jacques Bergier, 1960] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2758599?docpos=5

«Chapitre VI» [d’un roman collectif], Liberté, 33 (6, 3), mai-juin 1964, p. 204-207. https://id.erudit.org/iderudit/59917ac

«Teilhard de Chardin (1881-1955)», émission pour la radio de Radio-Canada, série «Philosophes et penseurs», 39, 19 juillet 1964, 12 p. Réalisateur : Gilbert Picard. [Échange à trois voix anonymes — il n’y a donc pas celle de Belleau, même si c’est lui qui a écrit le texte.]

«Jean Filiatrault : la côte Saint-Paul, le canal Lachine, la pauvreté…», la Presse, 3 avril 1965, p. 11. [Compte rendu de L’argent est odeur de nuit de Jean Filiatrault, 1961] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2758845?docpos=11

«Après Kwaidan», Liberté, 40 (7, 4), juillet-août 1965, p. 388. [Compte rendu du film Kwaidan de Masaki Kobayashi, 1964] https://id.erudit.org/iderudit/59979ac

«Avez-vous lu Brahms ?», Liberté, 41 (7, 5), septembre-octobre 1965, p. 433-437; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 13-16. https://id.erudit.org/iderudit/59989ac

«Pour Nicolas Freeling», Liberté, 44-45 (8, 2-3), mars-juin 1966, p. 171-172. https://id.erudit.org/iderudit/60650ac

«Un fait divers», Liberté, 44-45 (8, 2-3), mars-juin 1966, p. 173. [Sur l’interdiction de la Religieuse de Jacques Rivette] https://id.erudit.org/iderudit/60650ac

«Le monde des insectes fait maintenant partie de mon univers», le Petit Journal, semaine du 1er mai 1966, p. 60. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4251387?docpos=60

«La rue s’allume», Liberté, 46 (8, 4), juillet-août 1966, p. 25-28; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 17-19; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 59-63; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 59-64. https://id.erudit.org/iderudit/30058ac

«Les écrits. De la minceur…», Liberté, 46 (8, 4), juillet-août 1966, p. 102. [Sur la Maison de rendez-vous d’Alain Robbe-Grillet, 1965] https://id.erudit.org/iderudit/30070ac

«À propos d’un teach-in», le Devoir, 17 décembre 1966, p. 4. [Lettre ouverte] Suivi d’une réponse de la rédaction. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2776797?docpos=4

«Annexe III : commentaire du film Le Pavillon du Canada», texte de 1967, dans Benoît Melançon, «André Belleau et le cinéma», Sens public, revue numérique, rubrique «Chroniques», 9 février 2024. https://doi.org/1866/32568

«L’administrateur de la culture», Liberté, 50 (9, 2), mars-avril 1967, p. 25-29. Avec Jean-Guy Pilon. https://id.erudit.org/iderudit/29625ac

«Le règne du jour», Liberté, 52 (9, 4), juillet-août 1967, p. 139-140. [Compte rendu du film le Règne du jour de Pierre Perrault, 1967] https://id.erudit.org/iderudit/29621ac

«Wiener, McLuhan et la montée des automates», Liberté, 53 (9, 5), septembre-octobre 1967, p. 38-50; repris, sous le titre «Wiener et McLuhan», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 20-27. Traduction de Ralph Manhein, sous le titre «Wiener, McLuhan and the Rise of Automata», Architectural Design, XXXVIII, 7, juillet 1968, p. 302-304. https://id.erudit.org/iderudit/29597ac

«L’ombre pour la proie», Liberté, 53 (9, 5), septembre-octobre 1967, p. 65-67. [Compte rendu du film Blow-Up de Michelangelo Antonioni, 1966] https://id.erudit.org/iderudit/29601ac

«La poésie brésilienne contemporaine», Liberté, 53 (9, 5), septembre-octobre 1967, p. 71. https://id.erudit.org/iderudit/29603ac

«La cybernétique et nous. Série de vingt-six émissions sur l’avènement des automates et la place de l’homme dans la société technicienne», Montréal, Société Radio-Canada, diffusion du 1er novembre 1967 au 24 avril 1968. Recherches, scénarios et textes : André Belleau. Réalisation : Fernand Ouellette. Agent de relations à Paris : Pierre Jeancard. Supervision : Jean-Guy Pilon. Textes publiés en quatre tomes, 774 p.

«“Belle de jour” et belles d’autrefois», Liberté, 55 (10, 1), janvier-février 1968, p. 52-53. [Compte rendu du film Belle de jour de Luis Buñuel, 1967] https://id.erudit.org/iderudit/29588ac

«Avant-propos», Liberté, 57 (10, 3), mai-juin 1968, p. 5-6. [Dossier «Les écrivains et l’enseignement de la littérature»] https://id.erudit.org/iderudit/60337ac

«Kid Sentiment», Liberté, 57 (10, 3), mai-juin 1968, p. 204-205. [Compte rendu du film Kid Sentiment de Jacques Godbout, 1968] https://id.erudit.org/iderudit/60378ac

«D’un navet…», Liberté, 59-60 (10, 5-6), septembre-décembre 1968, p. 80-83. [Compte rendu de le Cinéma canadien de Gilles Marsolais, 1968] https://id.erudit.org/iderudit/29566ac

«2 — Jean-C. Falardeau», Liberté, 59-60 (10, 5-6), septembre-décembre 1968, p. 85-86. [Compte rendu de Notre société et son roman de Jean-Charles Falardeau, 1967] https://id.erudit.org/iderudit/29567ac

«3 — Fernand Dumont», Liberté, 59-60 (10, 5-6), septembre-décembre 1968, p. 87. [Compte rendu de le Lieu de l’homme de Fernand Dumont, 1968] https://id.erudit.org/iderudit/29567ac

«Pour un dictionnaire», Liberté, 10, 7, janvier-février 1969, p. 5-6. [Dossier «Dictionnaire politique et culturel du Québec»] https://id.erudit.org/iderudit/29500ac

«Néo-platonisme», Liberté, 10, 7, janvier-février 1969, p. 42-43; repris dans Liberté, 114 (19, 6), novembre-décembre 1977, p. 41. https://id.erudit.org/iderudit/29501ac; https://id.erudit.org/iderudit/60018ac

«Réalisme», Liberté, 10, 7, janvier-février 1969, p. 52-53. https://id.erudit.org/iderudit/29501ac

«Universalisme», Liberté, 10, 7, janvier-février 1969, p. 60; repris dans Liberté, 114 (19, 6), novembre-décembre 1977, p. 60. https://id.erudit.org/iderudit/29501ac; https://id.erudit.org/iderudit/60018ac

«Le cinéma québécois», Europe, 478-479, février-mars 1969, p. 246-251.

«La mort de l’écrivain maudit», Liberté, 11, 3-4, mai-juin-juillet 1969, p. 9-11. https://id.erudit.org/iderudit/29767ac

«Quelques interventions», Liberté, 11, 3-4, mai-juin-juillet 1969, p. 31-43. [Intervention d’André Belleau, p. 33] https://id.erudit.org/iderudit/29768ac

«M. Lalonde et ses propos… obscènes (?)», la Presse, 19 décembre 1969, p. 6. [Lettre ouverte] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2682756?docpos=6

«Le voyage dans l’œuvre de Rabelais», Montréal, Université de Montréal, mémoire de maîtrise, 1970, 100 p. Dir. : Michaël Baraz.

«Problèmes et limites de la critique rabelaisienne», dans Renée Legris et Pierre Pagé (édit.), l’Œuvre littéraire et ses significations, Montréal, Presses de l’Université du Québec, coll. «Recherches en symbolique», 1970, p. 137-146; repris dans Notre Rabelais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1990, p. 99-111.

«Baroque», Liberté, 68 (12, 2), mars-avril 1970, p. 6; repris dans Liberté, 114 (19, 6), novembre-décembre 1977, p. 5. https://id.erudit.org/iderudit/29700ac; https://id.erudit.org/iderudit/60018ac

«Information (théorie de l’)», Liberté, 68 (12, 2), mars-avril 1970, p. 21-22; repris dans Liberté, 114 (19, 6), novembre-décembre 1977, p. 22-23. https://id.erudit.org/iderudit/29700ac; https://id.erudit.org/iderudit/60018ac

«Littérature», Liberté, 68 (12, 2), mars-avril 1970, p. 25-26; repris dans Liberté, 114 (19, 6), novembre-décembre 1977, p. 35-36. https://id.erudit.org/iderudit/29700ac; https://id.erudit.org/iderudit/60018ac

«Kronos», Liberté, 68 (12, 2), mars-avril 1970, p. 39-42. [Nouvelle] https://id.erudit.org/iderudit/29702ac

«Quelques remarques sur la poésie de Jacques Brault», Liberté, 68 (12, 2), mars-avril 1970, p. 85-93; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 125-129. https://id.erudit.org/iderudit/29706ac

[s.t.], Forum (Université de Montréal), 4, 3, 20 avril 1970, p. 7. [Témoignage sur Gaston Miron]

«Rapport de la discussion», Liberté, 12, 3, mai-juin 1970, p. 123-126. [«Atelier numéro 4 : La littérature du Québec et les échanges internationaux»] https://id.erudit.org/iderudit/60299ac

«Un automne comme les autres», Liberté, 12, 5-6, septembre-décembre 1970, p. 12-14. [Nouvelle sur Octobre 1970] https://id.erudit.org/iderudit/60730ac

«Bakhtine et le multiple», Études françaises, 6, 4, 1970-1971, p. 481-487; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 181-184; repris dans Notre Rabelais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1990, p. 93-98. https://doi.org/10.7202/036470ar

«Discours de Marcel Duchamp ivre sur la condition des filles du boulevard Saint-Laurent», Liberté, 76-77 (13, 4-5), décembre 1971, p. 5-10; repris dans Montréal en prose. 1892-1992. Anthologie présentée par Nathalie Fredette, Montréal, l’Hexagone, coll. «Anthologies», 5, 1992, p. 288-294. [Nouvelle présentée comme «Extrait d’un roman en préparation» (p. 10).] https://id.erudit.org/iderudit/30676ac

«À propos de “Balzac et le jeu des Mots”, de François Bilodeau», Liberté, 76-77 (13, 4-5), décembre 1971, p. 148-149. https://id.erudit.org/iderudit/30691ac

«Mieux accueilli à Tel-Aviv qu’à Dorval», le Devoir, 8 février 1972, p. 4. [Lettre ouverte] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2773998?docpos=4

«L’automate comme personnage de roman», Études françaises, 8, 2, mai 1972, p. 115-129; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 28-34. https://doi.org/10.7202/036513ar

«La problématique présente de la littérature québécoise», Liberté, 81 (14, 3), juillet 1972, p. 13-24; repris, sous le titre «La problématique présente de la littérature québécoise (1972)», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 130-137. [Conférence prononcée le 26 janvier 1972 à l’Université hébraïque de Jérusalem] https://id.erudit.org/iderudit/30610ac

«Jeune littérature et conscience nationale», Arc-en-ciel, automne 1972, p. 91-98. Texte en hébreu. Revue en hébreu publiée à Tel-Aviv.

«La littérature israélienne contemporaine. Petite grammaire de la solidarité avec le peuple», Liberté, 82-83 (14, 4-5), novembre 1972, p. 121-125; repris, sous le titre «Petite grammaire de la solidarité avec le peuple», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 35-37; repris, sous le titre «Petite grammaire de la solidarité avec le peuple», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 79-84; repris, sous le titre «Petite grammaire de la solidarité avec le peuple», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 77-82. https://id.erudit.org/iderudit/60223ac

«Mouvement, temps et parole chez Rabelais», Liberté, 87-88 (15, 3-4), juillet 1973, p. 127-132; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 185-188; repris dans Notre Rabelais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1990, p. 113-119. https://id.erudit.org/iderudit/30369ac

«Allocution d’ouverture», Liberté, 90 (15, 6), novembre-décembre 1973, p. 9-10. [Dossier «Roman des Amériques : Actes de la Rencontre québécoise internationale des écrivains»] https://id.erudit.org/iderudit/30444ac

«La langue de la Sagouine», avant-propos à Antonine Maillet, la Sagouine, Montréal, Leméac, coll. «Théâtre acadien», 2, 1974, p. 35-38; repris, sous le titre «Quelle langue parle la Sagouine ?», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 68-69.

«Rabelais et l’Amérique : question de méthode», Voix et images du pays, 8, 1, 1974, p. 203-207; repris, sous le titre «La perception du “nouveau” : Rabelais et l’Amérique», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 189-192; repris, sous le titre «La perception du “nouveau” : Rabelais et l’Amérique», dans Notre Rabelais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1990, p. 121-126. https://doi.org/10.7202/600290ar

«Littérature et politique», Stratégie, 8, printemps 1974, p. 65-68; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 97-99; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 73-78; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 71-76.

«Ryan, Scully, Victor-Lévy Beaulieu : un même langage de l’immobilité», Liberté, 92 (16, 2), mars-avril 1974, p. 80-87; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 70-74. https://id.erudit.org/iderudit/26460ac

«Cinq poèmes de Nelly Sachs (traduits par André Belleau)», Liberté, 93 (16, 3), mai-juin 1974, p. 5-15. https://id.erudit.org/iderudit/1473ac

«La feuille de tremble», Liberté, 94 (16, 4), juillet-août 1974, p. 122-124; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 95-96; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 29-32; repris dans Jean-François Chassay (édit.), Anthologie de l’essai au Québec depuis la Révolution tranquille, Montréal, Boréal, 2003, p. 55-57; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 29-31. https://id.erudit.org/iderudit/31463ac

«La 150e réunion. Enregistrement d’une réunion de la revue Liberté où Jacques Folch-Ribas tenta de donner une dimension d’anniversaire à des conversations libres», Liberté, 95-96 (16, 5-6), septembre-décembre 1974, p. 5-43. [Participation d’André Belleau] https://id.erudit.org/iderudit/1492ac

«La Rencontre des écrivains depuis 1957 : une expérience d’animation culturelle», Liberté, 95-96 (16, 5-6), septembre-décembre 1974, p. 81-96. https://id.erudit.org/iderudit/1499ac

«Rencontre québécoise internationale des écrivains. L’écriture est-elle récupérable ?», Liberté, 97-98 (17, 1-2), janvier-avril 1975. [André Belleau a participé aux débats des diverses séances.] https://www.erudit.org/fr/revues/liberte/1975-v17-n1-2-liberte1031308/

«Ottawa, Ottawa, que me veux-tu ? L’automne», Liberté, 104 (18, 2), mars-avril 1976, p. 23-30. [Nouvelle] https://id.erudit.org/iderudit/30932ac

«Le fantastique dans la littérature», Montréal, Maison de Radio-Canada, Service des transcriptions et dérivés de la radio, coll. «Entretiens», 6, 18 avril 1976, 13 p. Invité : André Belleau. Interviewer : Wilfrid Lemoine. Réalisateur : Fernand Ouellette.

[s.t.], Liberté, 105 (18, 3), mai-juin 1976, p. 105. [Sur le journal le Jour] https://id.erudit.org/iderudit/30929ac

[s.t.], Liberté, 106-107 (18, 4-5), juillet-octobre 1976, p. 384. [Sur la prononciation à Radio-Canada] https://id.erudit.org/iderudit/30915ac

[s.t.], Liberté, 108 (18, 6), novembre-décembre 1976, p. 203. https://id.erudit.org/iderudit/30898ac

[s.t.], Liberté, 108 (18, 6), novembre-décembre 1976, p. 204. https://id.erudit.org/iderudit/30898ac

[s.t.], Liberté, 108 (18, 6), novembre-décembre 1976, p. 207. [Compte rendu de le Roman à l’imparfait de Gilles Marcotte, 1976] https://id.erudit.org/iderudit/30898ac

[s.t.], Liberté, 108 (18, 6), novembre-décembre 1976, p. 208-209. https://id.erudit.org/iderudit/30898ac

«L’essai», Montréal, Maison de Radio-Canada, 23 novembre 1976. Entrevues par Lise Gauvin et François Ricard. Invités : André Belleau, Renald Bérubé, Marcel Rioux.

«Jacques Godbout, l’Isle au dragon», Livres et auteurs québécois 1976, 1977, p. 77; repris, sous le titre «L’Isle au dragon de Jacques Godbout», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 138-140.

[s.t.], Liberté, 109 (19, 1), janvier-février 1977, p. 87. [Sur Claude Beausoleil] https://id.erudit.org/iderudit/30877ac

[s.t.], Liberté, 109 (19, 1), janvier-février 1977, p. 91. [Sur Françoise Loranger] https://id.erudit.org/iderudit/30877ac

«Culture populaire et culture “sérieuse” dans le roman québécois», Liberté, 111 (19, 3), mai-juin 1977, p. 31-36; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 141-144; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 159-165; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 157-163. https://id.erudit.org/iderudit/30808ac

«Un nécrologue mortifié», Liberté, 111 (19, 3), mai-juin 1977, p. 101-102. [Contre Robert Guy Scully] https://id.erudit.org/iderudit/30823ac

«Conditions d’une sociocritique», Liberté, 111 (19, 3), mai-juin 1977, p. 111-117; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 100-104; repris dans le Social et le littéraire. Anthologie. Textes réunis et présentés par Jacques Pelletier, Montréal, Université du Québec à Montréal, coll. «Les Cahiers du Département d’études littéraires», 2, 1984, p. 283-287. https://id.erudit.org/iderudit/30825ac

[s.t.], Liberté, 111 (19, 3), mai-juin 1977, p. 119. [Sur Maurice Clavel et Philippe Sollers] https://id.erudit.org/iderudit/30826ac

[s.t.], Liberté, 111 (19, 3), mai-juin 1977, p. 122. https://id.erudit.org/iderudit/30826ac

[s.t.], Liberté, 111 (19, 3), mai-juin 1977, p. 124. https://id.erudit.org/iderudit/30826ac

[s.t.], Liberté, 111 (19, 3), mai-juin 1977, p. 125. https://id.erudit.org/iderudit/30826ac

«Guadeloupe ambiguë», Liberté, 112-113 (19, 4-5), juillet-octobre 1977, p. 371-372; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 38; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 27-28; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 27-28. https://id.erudit.org/iderudit/29804ac

[s.t.], Liberté, 112-113 (19, 4-5), juillet-octobre 1977, p. 373. [Sur Maurice Poteet] https://id.erudit.org/iderudit/29805ac

[s.t.], Liberté, 112-113 (19, 4-5), juillet-octobre 1977, p. 374. https://id.erudit.org/iderudit/29805ac

[s.t.], Liberté, 112-113 (19, 4-5), juillet-octobre 1977, p. 379. [Sur la pauvreté] https://id.erudit.org/iderudit/29805ac

«Un génocide en douce, de P. Vadeboncoeur : un discours crépusculaire», Voix et images, 3, 1, septembre 1977, p. 154-156; repris, sous le titre «Un discours crépusculaire», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 145-147. https://doi.org/10.7202/200097ar

«Approches de l’objet littéraire», Permafra [Perfectionnement du maître en français], 1978. Texte inclus dans un «boîtier» pédagogique, rubrique «Divergence III : Littérature».

«Le personnage de l’écrivain dans le roman québécois (1940-1960)», Montréal, Université de Montréal, thèse de doctorat, août 1978, viii/247 p. Dir. : Gilles Marcotte.

«Le décrochage des signes : Rabelais comme lieu linguistique pluriel», Liberté, 115 (20, 1), janvier-février 1978, p. 68-82; repris, sous le titre «Le décrochage des signes», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 193-200; repris, sous le titre «Le décrochage des signes», dans Notre Rabelais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1990, p. 127-140. [Contribution au colloque sur «Les commencements de la langue française» (Institut d’études médiévales, Université de Montréal).] https://id.erudit.org/iderudit/60037ac

«Un libre discours sur le roman», le Devoir, 8 avril 1978, p. 37; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 105-106. [Compte rendu de le Roman en liberté de Félicien Marceau, 1978] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2775936?docpos=37

«Le “Zola” de Jacques Allard et autres considérations…», le Devoir, 6 mai 1978, p. 35. [Compte rendu de Zola, le chiffre du texte de Jacques Allard, 1978] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2775960?docpos=35

[s.t.], Liberté, 118-119 (20, 4-5), juillet-octobre 1978, p. 254. [Sur Henri Pichette] https://id.erudit.org/iderudit/60081ac

[s.t.], Liberté, 118-119 (20, 4-5), juillet-octobre 1978, p. 255. [Contre Jean-Paul de Lagrave] https://id.erudit.org/iderudit/60081ac

[s.t.], Liberté, 118-119 (20, 4-5), juillet-octobre 1978, p. 256. [Court billet énigmatique où Oscar Wilde côtoie Claude Beausoleil…] https://id.erudit.org/iderudit/60081ac

[s.t.], Liberté, 118-119 (20, 4-5), juillet-octobre 1978, p. 256. [«Les purs puent» — c’est le texte au complet.] https://id.erudit.org/iderudit/60081ac

Interventions dans François Hébert et René Lapierre, «Les 25 ans de l’Hexagone», Montréal, Maison de Radio-Canada, Service des transcriptions et dérivés de la radio, dans le cadre de l’émission «Actuelles» de Radio-Canada, 20 au 24 novembre 1978, 47 p. [p. 9-11, 16-17, 18, 19-21, 24-25]

«Culture de masse et institution littéraire», Liberté, 120 (20, 6), novembre-décembre 1978, p. 3-6; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 75-77; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 149-153; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 147-151. https://id.erudit.org/iderudit/60083ac

[s.t.], Liberté, 120 (20, 6), novembre-décembre 1978, p. 124. [«LES PURS PUENT DE PLUS EN PLUS» — c’est le texte au complet.] https://id.erudit.org/iderudit/60126ac

[s.t.], Liberté, 123 (21, 3), mai-juin 1979, p. 125. [Contre Roger Lemelin] https://id.erudit.org/iderudit/60184ac

[s.t.], Liberté, 123 (21, 3), mai-juin 1979, p. 126. [Belleau rapporte un mot de Michel Van Schendel : «Barthes, c’est Ravel».] https://id.erudit.org/iderudit/60184ac

[s.t.], Liberté, 123 (21, 3), mai-juin 1979, p. 127. [«Si on passe toute sa vie à dire non, on ne pourra pas à la fin dire oui» — c’est le texte au complet.] https://id.erudit.org/iderudit/60184ac

[s.t.], Liberté, 123 (21, 3), mai-juin 1979, p. 127. [«Il y a chez Lemelin quelque chose du Québécois en visite à Montréal : il en met toujours trop» — c’est le texte au complet.] https://id.erudit.org/iderudit/60184ac

[s.t.], Liberté, 123 (21, 3), mai-juin 1979, p. 127. [«La médecine moderne, c’est l’Inquisition plus l’anesthésie» — c’est le texte au complet.] https://id.erudit.org/iderudit/60184ac

[s.t.], Liberté, 124-125 (21, 4-5), juillet-octobre 1979, p. 286. https://id.erudit.org/iderudit/60198ac

Le Romancier fictif. Essai sur la représentation de l’écrivain dans le roman québécois, Montréal, Presses de l’Université du Québec, coll. «Genres et discours», 1980, 155 p. Note liminaire de Marc Angenot. Réédition : Québec, Nota bene, coll. «Visées critiques», 1999, 229 p. «Présentation» de François Dumont.

«Portrait du prof en jeune littératurologue (circa 1979, détails)», Liberté, 127 (22, 1), janvier-février 1980, p. 29-33; repris, sous le titre «Portrait du prof en jeune littératurologue (circa 1979, détails)», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 107-109; repris, sous le titre «Portrait du prof en jeune littératurologue (circa 1979, détails)», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 91-95; repris, sous le titre «Portrait du prof en jeune littératurologue (circa 1979, détails)», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 89-94. https://id.erudit.org/iderudit/29834ac

«L’esthétique du “oui”», Liberté, 128 (22, 2), mars-avril 1980, p. 9-11; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 78-79; repris, sous le titre «Avant le référendum de 1980 : l’esthétique du “oui”», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 99-102; repris, sous le titre «Avant le référendum de 1980 : l’esthétique du “OUI”», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 97-100. https://id.erudit.org/iderudit/29851ac

[s.t.], Liberté, 128 (22, 2), mars-avril 1980, p. 123. https://id.erudit.org/iderudit/29868ac

[s.t.], Liberté, 128 (22, 2), mars-avril 1980, p. 124. [«La culture, c’est accepter de savoir pour personne» — c’est le texte au complet.] https://id.erudit.org/iderudit/29868ac

[s.t.], Liberté, 128 (22, 2), mars-avril 1980, p. 125. [Sur Camus] https://id.erudit.org/iderudit/29868ac

[s.t.], Liberté, 128 (22, 2), mars-avril 1980, p. 126. [Sur Mozart] https://id.erudit.org/iderudit/29868ac

«Préface» à la Nouvelle Barre du jour, 89, avril 1980 («Le fantastique»), p. 5-6; repris, sous le titre «Fonction du fantastique», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 110-111; repris, sous le titre «Fonction du fantastique», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 69-71; repris, sous le titre «Fonction du fantastique», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 69-70.

«L’effet Derome ou Comment Radio-Canada colonise et aliène son public», Liberté, 129 (22, 3), mai-juin 1980, p. 3-8; repris, sous le titre «L’effet Derome», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 82-85; repris, sous le titre «L’effet Derome», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 107-114; repris dans Laurent Mailhot (édit.), l’Essai québécois depuis 1845. Étude et anthologie, Montréal, Hurtubise HMH, coll. «Cahiers du Québec. Littérature», 2005, p. 187-193; repris, sous le titre «L’effet Derome», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 105-112. https://id.erudit.org/iderudit/29869ac

[s.t.], Liberté, 129 (22, 3), mai-juin 1980, p. 125-126. [Sur Roland Barthes] https://id.erudit.org/iderudit/29887ac

[s.t.], Liberté, 129 (22, 3), mai-juin 1980, p. 126. [Sur Roger Lemelin] https://id.erudit.org/iderudit/29887ac

[s.t.], Liberté, 129 (22, 3), mai-juin 1980, p. 127. [Sur l’informatique] https://id.erudit.org/iderudit/29887ac

«Approches et situation de l’essai québécois», Voix et images, 5, 3, printemps 1980, p. 537-543; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 148-153. [Texte d’une communication présentée le 5 octobre 1979] https://doi.org/10.7202/200231ar

«On ne meurt pas de mourir», Liberté, 131 (22, 5), septembre-octobre 1980, p. 3-5; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 80-81; repris, sous le titre «Après le Référendum de 1980 : on ne meurt pas de mourir», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 103-105; repris, sous le titre «Après le référendum de 1980 : on ne meurt pas de mourir», dans Jean-François Chassay (édit.), Anthologie de l’essai au Québec depuis la Révolution tranquille, Montréal, Boréal, 2003, p. 83-85; repris, sous le titre «On ne meurt pas de mourir», dans Olivier Kemeid, Pierre Lefebvre et Robert Richard (édit.), Anthologie Liberté. 1959-2009. L’écrivain dans la cité. 50 ans d’essais, Montréal, Le Quartanier, série «QR», 41, 2011, p. 221-223; repris, sous le titre «Après le référendum de 1980 : on ne meurt pas de mourir», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 101-103. https://id.erudit.org/iderudit/29899ac

«Le conflit des codes dans l’institution littéraire québécoise», Liberté, 134 (23, 2), mars-avril 1981, p. 15-20; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 154-157; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 167-174; repris dans Lise Gauvin et Gaston Miron (édit.), Écrivains contemporains du Québec depuis 1950, Paris, Seghers, 1989, p. 74-75; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 165-172. https://id.erudit.org/iderudit/60245ac

«André Belleau. 11 novembre 1981», Montréal, Entreprises Radio-Canada, Les transcriptions radio, coll. «Le travail de la création», 8, 1981, 10 p. Recherchiste et interviewer : Marcel Bélanger. Réalisateur : Fernand Ouellette.

«Parle (r)(z) la France», Liberté, 138 (23, 6), novembre-décembre 1981, p. 29-34; repris, sous le titre «Parle(r)(z) la France», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 45-47; repris, sous le titre «Parle(r)(z) de la France», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 33-38; repris, sous le titre «Parle(r)(z) de la France», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 33-38. https://id.erudit.org/iderudit/60322ac

«Relire le jeune Lukacs», Liberté, 138 (23, 6), novembre-décembre 1981, p. 105-115; repris dans Signum (Collège royal militaire du Canada), 1, 1982, p. 115-133; repris dans Georg Lukács et la théorie littéraire contemporaine, Montréal, A.P.F.U.C., 1983; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 112-118. https://id.erudit.org/iderudit/60331ac

[s.t.], Liberté, 138 (23, 6), novembre-décembre 1981, p. 134. [Sur Philippe Haeck] https://id.erudit.org/iderudit/60335ac

[s.t.], Liberté, 138 (23, 6), novembre-décembre 1981, p. 135. [Sur la publicité] https://id.erudit.org/iderudit/60335ac

[s.t.], Liberté, 138 (23, 6), novembre-décembre 1981, p. 135. https://id.erudit.org/iderudit/60335ac

«Préface. Pour la nouvelle», dans André Carpentier, Du pain des oiseaux, Montréal, VLB éditeur, 1982, p. 7-12; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 119-120; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 65-68; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 65-68. Traduction dans André Carpentier, Bread of the Birds, Victoria, Ekstasis, 1993, 119 p. Traduction de Michael Bullock.

«John Le Carré», Montréal, Maison de Radio-Canada, Service des transcriptions et dérivés de la radio, coll. «Les auteurs de best-sellers», 6, 8 février 1982, 17 p. Texte et interview : Pierre Villon. Invité : André Belleau. Réalisateur : Yves Lapierre.

«La petite maison dans la prairie», Liberté, 141 (24, 3), mai-juin 1982, p. 5-8. https://id.erudit.org/iderudit/30296ac

«Jean Filiatrault (1919-1982)», Liberté, 141 (24, 3), mai-juin 1982, p. 137. https://id.erudit.org/iderudit/30322ac

«Homo etiam mundus est», Liberté, 142 (24, 4), juillet-août 1982, p. 28-36; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 48-52. https://id.erudit.org/iderudit/30326ac

«L’Allemagne comme lointain et comme profondeur», Liberté, 143 (24, 5), octobre 1982, p. 30-39; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 53-58; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 39-48; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 39-48. https://id.erudit.org/iderudit/60715ac

«Reprise critique du concept de carnavalisation (synopsis)», dans M. M. Bakhtine, son Cercle, son influence, Kingston, Queen’s University, 1983, p. 12-19.

«Le fragment de Batiscan», dans Dix contes et nouvelles fantastiques par dix auteurs québécois, Montréal, Quinze, 1983, p. 65-88. [Nouvelle]

«Ginette et Yvon rue Gilford», Liberté, 145 (25, 1), février 1983, p. 75-79. [Pastiche de Michel Tremblay] https://id.erudit.org/iderudit/30410ac

«Les écrivains québécois sont-ils des intellectuels ?», Liberté, 145 (25, 1), février 1983, p. 86-88; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 86-87; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 155-157; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 153-155. [Extraits d’une allocution prononcée au congrès de l’Union des écrivains québécois le 9 octobre 1982] https://id.erudit.org/iderudit/30413ac

«Langue et nationalisme», Liberté, 146 (25, 2), avril 1983, p. 2-9; repris, sous le titre «Pour un unilinguisme antinationaliste», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 88-92; repris, sous le titre «Pour un unilinguisme antinationaliste», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 115-123; repris, sous le titre «Langue et nationalisme», dans Francis Gingras (édit.), Miroir du français. Éléments pour une histoire culturelle de la langue française, Montréal, Presses de l’Université de Montréal, coll. «Espace littéraire», 2014 (troisième édition), p. 425-429; repris, sous le titre «Pour un unilinguisme antinationaliste», dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 113-121. https://id.erudit.org/iderudit/30467ac

«The Viking Portable Library», Liberté, 146 (25, 2), avril 1983, p. 110-111. https://id.erudit.org/iderudit/30482ac

«Rêver à Pétrarque», Liberté, 147 (25, 3), juin 1983, p. 204-205. https://id.erudit.org/iderudit/30508ac

«La Nuit du grand boss», Liberté, 147 (25, 3), juin 1983, p. 211. https://id.erudit.org/iderudit/30508ac

«“Bouquins”», Liberté, 147 (25, 3), juin 1983, p. 215-216. https://id.erudit.org/iderudit/30508ac

«Code social et code littéraire dans le roman québécois», l’Esprit créateur, 23, 3, automne 1983, p. 19-31; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 175-192; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 173-190. https://www.jstor.org/stable/26283973

«Maroc sans noms propres», Liberté, 149 (25, 5), octobre 1983, p. 129-134; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 59-62; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 49-55; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 49-55. https://id.erudit.org/iderudit/30604ac

«Le formol du formalisme», Liberté, 149 (25, 5), octobre 1983, p. 153-155; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 121-122. https://id.erudit.org/iderudit/30607ac

«Liberté : la porte est ouverte. Quelque chose de festif coïncide avec le bonheur des mots», le Devoir, 5 novembre 1983, p. VIII; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 175-177; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 21-25; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 21-25. http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2787296?docpos=8

«Petite essayistique», Liberté, 150 (25, 6), décembre 1983, p. 7-10; repris dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 7-9; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 85-89; repris dans Lise Gauvin et Gaston Miron (édit.), Écrivains contemporains du Québec depuis 1950, Paris, Seghers, 1989, p. 72-73; repris dans Marie Malo, Guide de la communication écrite au cégep, à l’université et en entreprise, Montréal, Québec/Amérique, 1996, p. 269-270; repris dans Jean-François Chassay (édit.), Anthologie de l’essai au Québec depuis la Révolution tranquille, Montréal, Boréal, 2003, p. 205-208; repris dans François Dumont (édit.), Approches de l’essai. Anthologie, Québec, Nota bene, coll. «Visées critiques», 2003, p. 159-163; repris dans Laurent Mailhot (édit.), l’Essai québécois depuis 1845. Étude et anthologie, Montréal, Hurtubise HMH, coll. «Cahiers du Québec. Littérature», 2005, p. 182-187; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 83-87. https://id.erudit.org/iderudit/30652ac

«M. Mordecai Richler est un parfait salaud», Liberté, 150 (25, 6), décembre 1983, p. 136-138. https://id.erudit.org/iderudit/30671ac

«La démarche sociocritique au Québec», Voix et images, 8, 2, hiver 1983, p. 299-307; repris, sous le titre «La sociocritique et la littérature québécoise», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 158-165; repris, sous le titre «La démarche sociocritique au Québec», dans le Social et le littéraire. Anthologie. Textes réunis et présentés par Jacques Pelletier, Montréal, Université du Québec à Montréal, coll. «Les Cahiers du Département d’études littéraires», 1984, p. 289-301; repris, sous le titre «La méthode sociocritique», dans Caroline Bayard (édit.), 100 Years of Critical Solitudes. Canadian and Québécois Criticism from the 1880s to the 1980s, Toronto, ECW Press, 1992, p. 170-179. https://doi.org/10.7202/200384ar

«Carnavalisation et roman québécois : mise au point sur l’usage d’un concept de Bakhtine», Études françaises, 19, 3, hiver 1983-1984, p. 51-64; repris, sous le titre «La dimension carnavalesque du roman québécois», dans Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, p. 166-174; repris, sous le titre «La dimension carnavalesque du roman québécois», dans le Social et le littéraire. Anthologie. Textes réunis et présentés par Jacques Pelletier, Montréal, Université du Québec à Montréal, coll. «Les Cahiers du Département d’études littéraires», 1984, p. 303-312; repris, sous le titre «La dimension carnavalesque du roman québécois», dans Notre Rabelais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1990, p. 141-156; repris, sous le titre «La dimension carnavalesque du roman québécois», dans Littérature et société. Anthologie préparée par Jacques Pelletier avec la collaboration de Jean-François Chassay et Lucie Robert, Montréal, VLB éditeur, coll. «Essais critiques», 7, 1994, p. 218-232. https://doi.org/10.7202/036802ar

Y a-t-il un intellectuel dans la salle ? Essais, Montréal, Primeur, coll. «L’échiquier», 1984, 206 p. «Avant-propos» de René Lapierre.

«Des roses pour Candy Bar», dans André Carpentier (édit.), Dix nouvelles humoristiques par dix auteurs québécois, Montréal, Quinze, 1984, p. 79-89. [Nouvelle]

«Présentation» [du numéro «Bakhtine mode d’emploi»], Études françaises, 20, 1, printemps 1984, p. 5-6. https://doi.org/10.7202/036811ar

«Carnavalesque pas mort ?», Études françaises, 20, 1, printemps 1984, p. 37-44; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 193-202; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 191-200. https://doi.org/10.7202/036814ar

«L’ordinateur saisi par le mythe», Critère, 37, printemps 1984, p. 69-74; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 203-209; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 201-207.

«Lectures de Gérard Bessette, textes réunis par J.-J. Hamm Québec / Amérique 1982», University of Toronto Quarterly, 53, 4, été 1984, p. 481-482.

«André Carpentier et le discours littéraire fantastique», Imagine…, 22 (5, 5), juin 1984, p. 25-30. Suivi d’une «Réponse d’André Carpentier. Pourquoi écrire… du fantastique», p. 31-35.

«Indépendance du discours et discours de l’indépendance», Liberté, 153 (26, 3), juin 1984, p. 14-26; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 125-139; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 123-137. https://id.erudit.org/iderudit/60383ac

«Notre Rabelais», Montréal, Maison de Radio-Canada, Service des transcriptions et dérivés de la radio, coll. «Actuelles», 29 octobre au 2 novembre 1984, 63 p. Recherche, texte et animation : André Belleau. Interviewer : Wilfrid Lemoine. Réalisateur : Fernand Ouellette; repris, sous le titre «Cinq entretiens», dans Notre Rabelais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1990, p. 11-89.

«Liberté», dans The Canadian Encyclopedia, Edmonton, Hurtig Publishers, 1985, vol. 2 : For-Pat, p. 1003. https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/liberte-1; https://www.thecanadianencyclopedia.ca/en/article/liberte-1

«Pourquoi je ne demanderai pas de subventions numériques pour des recherches digitales (et vice versa)», Liberté, 158 (27, 2), avril 1985, p. 34-39; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 211-217; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 209-215. https://id.erudit.org/iderudit/31254ac

«Romans au cinéma», Liberté, 158 (27, 2), avril 1985, p. 152. [Sur les adaptations cinématographiques de Maria Chapdelaine et de Bonheur d’occasion] https://id.erudit.org/iderudit/31268ac

«Les souvenirs de Gérard Pelletier : une mémoire hors du temps», Liberté, 159 (27, 3), juin 1985, p. 88-92; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 141-146; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 139-144. [Compte rendu de les Années d’impatience 1950-1960 de Gérard Pelletier, 1983] https://id.erudit.org/iderudit/31278ac

«Lorsqu’il m’arrive de surprendre les voix», Liberté, 161 (27, 5), octobre 1985, p. 26-36; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, p. 221-233; repris dans Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016, p. 217-229. https://id.erudit.org/iderudit/60403ac

Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1986, 237 p. «Avertissement» de François Ricard et Fernand Ouellette.

«Le dernier livre de Bakhtine : la fin comme commencement», le Bulletin Bakhtine/The Bakhtin Newsletter (Kingston, Queen’s University), 2, 1986, p. 130-133; repris dans Notre Rabelais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1990, p. 169-175.

«La teoria bachtiniana del dialogismo e le sue implicazioni narratologiche», dans Bachtin teorico del dialogo, a cura di Franco Corona, Milan, Franco Angeli, 1986, p. 284-292. [Communication présentée en anglais par André Belleau au colloque international de Cagliari, Bakhtin as Theorist of Dialogue, en mai 1985; traduction de Franco Corona. Traduction française, par Robert Melançon, dans Études françaises, 23, 3, hiver 1988, p. 9-17]

«Entretien autobiographique avec Wilfrid Lemoine», Liberté, 169 (29, 1), février 1987, p. 4-27. Transcription par François Ricard d’un entretien radiophonique du 4 mai 1978 dans la série «À la croisée des chemins» (réalisation d’Yves Lapierre). https://id.erudit.org/iderudit/31100ac

«La passion de l’essai», Liberté, 169 (29, 1), février 1987, p. 92-97. Transcription d’un entretien radiophonique du 11 octobre 1981 avec Marcel Bélanger dans le cadre de l’émission «Le travail de la création» de Radio-Canada. https://id.erudit.org/iderudit/31121ac

Desbiens, Jean-Paul, les Insolences du frère Untel, Montréal, Éditions de l’Homme, 1988, 253 p. Ill. Édition de luxe. Texte annoté par l’auteur. Préface de Jacques Hébert.

Lettre d’André Belleau au frère Untel (Jean-Paul Desbiens) du 21 décembre 1960 (p. 236-237).

«Du dialogisme bakhtinien à la narratologie», Études françaises, 23, 3, hiver 1988, p. 9-17; repris dans Notre Rabelais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1990, p. 157-168. [Traduction de Robert Melançon d’une communication présentée en anglais par André Belleau au colloque international de Cagliari, Bakhtin as Theorist of Dialogue, en mai 1985 et publiée en italien en 1986] https://doi.org/10.7202/035722ar

Notre Rabelais, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1990, 177 p. «Présentation» de Diane Desrosiers et François Ricard.

«Correspondances», Liberté, 194 (33, 2), avril 1991, p. 95-107. Avec Julio Cortázar, François Hébert et Ig. https://id.erudit.org/iderudit/32005ac

«Saint Joyce, écrivain et martyr», l’Impossible, 2, février 1993, p. 64-67. Transcription d’un entretien radiophonique du 17 février 1982 dans le cadre de l’émission «Horizons» de Radio-Canada (réalisation d’André Major). Propos recueillis par André Beaudet.

«Le lecteur de polars. Extraits des Cahiers de lecture (1969-1986)», dans Benoît Melançon et Pierre Popovic (édit.), Miscellanées en l’honneur de Gilles Marcotte, Montréal, Fides, 1995, p. 219-237. Texte édité et présenté par Benoît Melançon et Pierre Popovic.

Belleau, André, Surprendre les voix. Essais, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 286, 2016 (1986), 237 p. Précédé d’une «Note de l’éditeur».

Belleau, André, Cahiers, Montréal, Presses de l’Université de Montréal, coll. «Cahiers littéraires». Édition de Marie Malo et Benoît Melançon. Manuscrit de 457 p. à paraître.

Coudon(c) !

Réjean Ducharme, Dévadé, 1990, couverture

Pas plus tard que la semaine dernière, l’Oreille tendue twittait ceci : «Mon fils de 11 ans vient de dire “du coup”. Je pense à le déshériter.» Réponse, sibylline pour certains, de François Bon : «coudonc…».

Coudon(c), donc.

La graphie n’est pas fixée. Au «coudonc» de l’ami François ou de @Dutrizac répondent le «coup donc» de Sylvain Hotte (Attaquant de puissance, p. 218) et le «coudon» de Réjean Ducharme (Dévadé, p. 44) ou de Marc Beaudet et Luc Boily (Gangs de rue, p. 17).

@machinaecrire en propose l’origine suivante : «Principe d’économie : “Écoute donc” devient “‘cout’donc” devient “coudonc” devient “coudon”. Ah bin, coudon.» Il rejoint par là le Dictionnaire de la langue québécoise (1980) de Léandre Bergeron (p. 151), qui choisit la graphie coudon.

Quel est le sens de cette interjection ? Ce n’est pas plus simple. Voici au moins deux possibilités.

Elle marque l’exaspération : Où t’a mis l’aide maritale, coudon !?

Elle peut clore une discussion, faute d’argument à opposer à son interlocuteur : Il a marié sa sœur ?! Coudonc…

Il existe aussi un usage vaguement interrogatif.

Coudon(c), è don ben bruyante, ton aide maritale ?!

On l’aura compris : le c final ne se prononce habituellement pas.

 

[Complément du 27 octobre 2014]

Un linguiste était bien sûr déjà passé par là :

Laurendeau, Paul, «Description du marqueur d’opérations coudon dans le cadre d’une théorie énonciative», Revue québécoise de linguistique, 15, 1, 1985, p. 79-116. https://doi.org/10.7202/602550ar

Merci à Dominique Garand pour le lien.

 

[Complément du 2 novembre 2018]

L’Oreille ne connaissait pas la graphie ‘coudonc (avec apostrophe inversée initiale). Elle la découvre dans le plus récent recueil de «récits» de Michel Tremblay, Vingt-trois secrets bien gardés (p. 45, p. 70, p. 91).

 

[Complément du 26 mars 2019]

Dès 1937, la brochure le Bon Parler français déplorait la réduction de «Écoute donc» à «Coudon» (p. 10).

 

Références

Beaudet, Marc et Luc Boily, Gangs de rue. Les Rouges contre les Bleus, Brossard, Un monde différent, 2011, 49 p. Bande dessinée.

Bergeron, Léandre, Dictionnaire de la langue québécoise, Montréal, VLB éditeur, 1980, 574 p.

Le Bon Parler français, La Mennais (Laprairie), Procure des Frères de l’Instruction chrétienne, 1937, 24 p.

Ducharme, Réjean, Dévadé. Roman, Paris et Montréal, Gallimard et Lacombe, 1990, 257 p.

Hotte, Sylvain, Attaquant de puissance, Montréal, Les Intouchables, coll. «Aréna», 2, 2010, 219 p.

Tremblay, Michel, Vingt-trois secrets bien gardés. Récits, Montréal et Arles, Leméac et Actes Sud, 2018, 106 p.