La capitalisation, sous ses deux espèces

Il y a, communément, l’«Action de capitaliser» (le Petit Robert, édition numérique de 2010). C’est affaire d’argent à amasser.

Une lectrice québécoparisienne de l’Oreille tendue propose, pour sa part, d’appeler capitalisation l’obsession de la capitale. L’Oreille se range volontiers à cette proposition.

Cette lectrice accompagne sa proposition d’un hyperlien. Icelui fait apparaître l’illustration suivante :

«Paris capitale», 2012

Est-ce à dire que la capitalisation ne serait pas un mal proprement québécois ? Il faudra se pencher sur cette question et voir quelles sont ses conséquences sur l’identité provinciale.

Le CHUM est là pour ça

Il y a quelques mois que le verbe quitter employé sans complément ne s’était pas rappelé au bon souvenir de l’Oreille tendue et de ses lecteurs.

L’administration du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) s’est chargée de corriger la situation, rue Sanguinet à Montréal, pas plus tard qu’hier matin.

Message de sécurité, Centre hospitalier de l'Université de Montréal, 8 janvier 2012

Merci d’avoir pensé à nous.

Autopromotion 019

L’Oreille tendue a récemment consacré trois textes à des prolégomènes à propos de la bande dessinée (BD) sur le hockey (H), principalement au Québec (Q). C’était le 12 décembre, le 23 décembre et le 28 décembre.

Elle causera de cette BDHQ au micro de Franco Nuovo, à l’émission Dessine-moi un dimanche, à la radio de Radio-Canada, ce matin, entre 9 h et 10 h.

 

[Complément du jour]

On peut (ré)entendre l’entretien ici, à partir de la seizième minute.

 

[Complément du 2 juin 2016]

L’Oreille tendue vient de publier un article sur ce sujet :

Melançon, Benoît, «BDHQ : bande dessinée et hockey au Québec», dans Benoît Melançon et Michel Porret (édit.), Pucks en stock. Bande dessinée et sport, Chêne-Bourg (Suisse), Georg, coll. «L’Équinoxe. Collection de sciences humaines», 2016, p. 101-117. https://doi.org/1866/28749