De l’article Bar
De l’article Congédiement
De l’article Diaphore
De l’article La Femme jalouse
De l’article Mots en
De l’article PQ
De l’article Voltaire au Canada
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
De l’article Bar
De l’article Congédiement
De l’article Diaphore
De l’article La Femme jalouse
De l’article Mots en
De l’article PQ
De l’article Voltaire au Canada
«l’orage ne perturba guère
les travaux ni le feu sacré de l’étudiant
sinon nous n’aurions pas été là
à l’écouter encore»
François Hébert, Si affinités. Poèmes, Montréal, L’Hexagone, 2023, 104 p., p. 40. Postface de Nathalie Watteyne.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
Être chien («T’es chien», «C’est chien»), dans le français populaire du Québec, peut désigner plusieurs comportements, tous répréhensibles : surplus de méchanceté, absence de fair-play, déficit de mansuétude, accès de saloperie.
Dans le domaine sportif, qui joue chien joue cochon.
La personne qui vous propose, sous la bannière «C’est chien !», de promener votre animal de compagnie, contre rétribution, fait donc preuve d’humour. Félicitons-la.
P.-S.—En effet, ce n’est pas le premier chien que nous croisons; voir ici.
«elle a l’air triste d’une monitrice
de colonie de vacances de Ville-Émard
par un jour de pluie à la télé communautaire»
François Hébert, Si affinités. Poèmes, Montréal, L’Hexagone, 2023, 104 p., p. 27. Postface de Nathalie Watteyne.
«Je l’ai musclé, ce corps, tatoué, baddigeonné de crème ou de souvenirs de caresses. La prochaine fois qu’on me touchera, je me concentrerai davantage sur la sensation des mains curieuses venues à la rencontre de ma peau en veille. En attendant, je frotte ma nuque, traquant la mémoire des tendresses partagées» (p. 82).
Raïssa Yowali, «Être à soi», dans Selfies. Autoportraits d’enfants du siècle. Un collectif piloté par Kiev Renaud, Montréal, Le Cheval d’août, 2023, 103 p., p. 81-83. Illustrations de Kaël Mercader.
(Une définition du zeugme ? Par là.)