«Saïd renifle piteusement, il marmonne des mots rien que pour lui. Les mecs ont beau tendre l’oreille, ils comprennent pas. Manuel a le visage fermé, blafard. Il saisit la bouteille et s’enfile une longue gorgée.»
Marion Brunet, l’Été circulaire. Roman, Paris, Albin Michel, 2018, 266 p., p. 186.