«Mme Arnoux se réveilla. L’aboiement du chien continuait. Elle tendit l’oreille. Cela partait de la chambre de son fils. Elle s’y précipita pieds nus. C’était l’enfant lui-même qui toussait.»
Gustave Flaubert, l’Éducation sentimentale. Histoire d’un jeune homme, Paris, Classiques Garnier, 1961, xii/473 p., p. 281. Introduction, notes et relevé de variantes par Édouard Maynial. Édition originale : 1869.