« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
«Autour, on bavarde et grouille près des terrasses, porte des toasts ou des vestons repassés.»
Patrick Roy, la Ballade de Nicolas Jones. Roman, Montréal, Le Quartanier, coll. «Polygraphe», 01, 2010, 220 p., p. 194.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
«Quelques maisons étaient déjà éclairées, où l’on préparait le matin et le petit déjeuner.»
Jacques Ferron, les Confitures de coings et autres textes, Montréal, Parti pris, coll. «Projections libérantes», 1977, 293 p., p. 95.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
«Serena était de ces filles-là, je m’en aperçus à la seconde où elle sonna à ma porte, un matin vers neuf heures, me tirant de mon lit et du sommeil, m’obligeant à ouvrir en chemise de nuit, à la faire entrer dans mon désordre artistique.»
Claire Legendre, la Méthode Stanislavski. Roman, Paris, Grasset, 2006, 373 p., p. 47-48.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
«Qu’on le traite de salaud ou aux petits oignons, une assurance l’accompagne, il n’est pas né pour faire de vieux os.»
Patrick Roy, la Ballade de Nicolas Jones. Roman, Montréal, Le Quartanier, coll. «Polygraphe», 01, 2010, 220 p., p. 49.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
«Julie insiste sur l’extraordinaire solidité de ces tables [les tables de taverne] qui ont supporté bien des coudes et des désespoirs, et sur l’avantage de pouvoir les modifier comme on le veut.»
Michèle Péloquin, les Yeux des autres. Nouvelles, Montréal, XYZ, coll. «Romanichels», 2004, 130 p., p. 63.
(Une définition du zeugme ? Par là.)