L’Oreille tendue, la professeure, vient de corriger une copie de l’Oreille tendue, l’étudiante. Cela aurait pu être pire.

« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
L’Oreille tendue, la professeure, vient de corriger une copie de l’Oreille tendue, l’étudiante. Cela aurait pu être pire.


Il y a plus de six lustres, l’Oreille tendue décidait de devenir dix-huitiémiste. Pourquoi ? Entre autres raisons, pour la couleur, la texture et l’odeur du papier des premières livraisons des Studies on Voltaire and the Eighteenth Century. Ouvrant un volume de la collection aujourd’hui, elle a retrouvé intactes cette couleur, cette texture et cette odeur. Sa madeleine.
La 379e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.
La bibliographie existe depuis le 16 mai 1992. Elle compte 43 954 titres.
Illustration : «L’Académie des sciences», gravure de Bernard Picart, Amsterdam, 1729, Rijksmuseum, Amsterdam

Quatre professeurs de la Faculté des arts et des sciences de l’Université de Montréal ont accepté de répondre à la question que leur a posée la revue les Diplômés : «Qu’auraient dit Platon, Voltaire, Søren Kierkegaard et Jürgen Habermas de l’opinion publique ?»
S’agissant de Voltaire, c’est l’Oreille tendue qu’on peut lire (ici).
La 378e livraison de XVIIIe siècle, la bibliographie de l’Oreille tendue, est servie.
La bibliographie existe depuis le 16 mai 1992. Elle compte 43 823 titres.
Illustration : «Le libraire», gravure de Robert Brichet, Augsbourg, 1784, Rijksmuseum, Amsterdam